• Expositions-Musées

     

     

    Kikou,

    Désolée d'être si peu présente sur les blogs,

     mais je n'oublie personne

    et que ce muguet vous porte chance.

    Bisouxxx

      

      

    Google Bookmarks

    1 commentaire
  •  

     

     

    Chants grégoriens pour Pâques 

     

    Expositions-Musées

     

     

    Expositions-Musées

     

    VOUS SOUHAITE

      

    Expositions-Musées

     

    IL PLEUT SUR TOULOUSE ET CHEZ VOUS?

     

    Expositions-Musées

     

    LES CLOCHES ONT LAISSE UN JOLI PANIER GARNI

     

    Expositions-Musées

     

    REGALEZ VOUS

      

    Expositions-Musées

     

    QUE L'OEUF SOIT GROS

      

    Expositions-Musées

      

    OU PETITS

      

    Expositions-Musées

     A TOUS DE LA PART DE VOTRE AMIE

    HARMONY/NICOLE

      

    Expositions-Musées

      

    Google Bookmarks

    1 commentaire
  •  

     

      

    N°1 - N° 5
     
    Pollock
     
    140 millions $ - peint sur panneau dur de 122 x 244 cm - 1948
     
     
     
    Expositions-Musées
     
     
    Représentatif de l'école de l'action painting initiée par le peintre américain Jackson Pollock, le tableau a été adjugé à un prix astronomique. Une somme que l'on explique par la rareté des œuvres de Pollock sur le marché, l'artiste étant décédé très jeune (44 ans) dans un accident de voiture.
    Le panneau étant vernis, a pris une teinte brun clair. L'oeuvre a été réalisée par passages superposés à l'huile (noir), puis un peu de blanc, puis avec de la peinture aluminium. Et ensuite, suivant un ordre difficile à reconstituer, avec éventuellement plusieurs passages dans la même couleur, avec du rouge foncé, du brun, du jaune, du noir et enfin du blanc en surface. La couleur était plutôt déversée et égouttée en épuisement du déversement, avec plus ou moins de vigueur. Cette pratique qu'il a parfaitement utilisé dans des effets allant d'une "écriture" automatique à une relative maîtrise. Le terme "dripping", pour "égouttement" est donc inapproprié..
     
     
      
    N° 2 Adèle Block Bauer
     
    Klimt - 135 millions $ - 136 x 138 cm - 1907
     
     
    Expositions-Musées
     
     
     
    Détrôné de la première place par le Pollock, ce célèbre portrait signé Klimt a été au centre d'une longue bataille juridique entre les descendants du modèle et le gouvernement autrichien qui a fini par reconnaître que l'œuvre avait fait partie d'un lot pillé par les nazis. Nièce d'Adèle Bloch-Bauer, Maria Altman, 90 ans, fut propriétaire du tableau jusqu'à son rachat, par Ronald S. Lauder. A la tête d'un empire du cosmétique,
     
    N° 3
      
    Garçon à la pipe - Picasso 104,1 millions $ - 99,7 x 81,3 cm - 1905
     
     
     
    Expositions-Musées
     
     
     
    Chef-d'œuvre de la période rose et record pour Picasso (jusqu'ici, il n'avait atteint que 55 millions avec Femme aux bras croisés), ce Garçon appartenait à la collection de John Hay Whitney (propriétaire du Herald Tribune qui l'avait payé 26.000 dollars en 1958) et a été revendu chez Sotheby à New York par la Fondation Greentree fondée par la veuve de Whitney. En mai 2004, estimé à 70 millions de dollars, il s'est envolé à 104 millions.
     
    N° 4
      
    Dora Maar au chat - Picasso - 95,2 millions $ - 130 x 97 cm - 1941.
     
     
    Expositions-Musées
     
     
    Autre vente chez Sotheby New York , le portrait de Dora Maar entretient le mythe de l'acheteur anonyme. Représentant l'une des maîtresses célèbres de Picasso (la photographe Dora Maar), le tableau fut entre les mains de Leigh Bloch, homme d'affaires et président du Chicago Art Institute qui le céda, en 1963, pour 106.250 dollars à un collectionneur américain.
     
    N° 5
      
    Adèle Bloch-Bauer, II - Klimt - 87,9 millions $ - 120 x 190 - 1912
     
     
     
     
    Variation autour du même modèle, ce Adèle Bloch-Bauer II a été vendu la semaine dernière à New York pour la somme de 87,9 millions (on n'est pas loin d'un prix Brantano!), entrant à la cinquième place du Top 10 et déclassant la Femme aux bras croisés de Picasso. Ce tableau faisait également partie d'un ensemble d'œu- vres restituées par l'Autriche aux héritiers de la propriétaire originelle, Adèle Bloch-Bauer, l'acquéreur a tenu à garder l'anonymat.
     
    N° 6
      
     Portrait du Docteur Gachet - Van Gogh - 82,5 millions $ - 57 x 68 cm - 189
     
     
    Expositions-Musées
     
     
    Passé de mains inconnues en mains plus connues, le tableau (dont on peut voir une autre version au Musée d'Orsay à Paris) a été saisi par les nazis en 1938. Il réapparaît sur le marché français, intègre les collections Kramarsky et est exposé au Metropolitan de New York jusqu'à la disparition de madame Kramarsky, date à laquelle ses héritiers décident de le mettre en vente. Le 15 mai 1990, il prend alors le chemin du Japon où l'attend son nouveau propriétaire.
     
     N°7
      
    Le Moulin de la Galette - Renoir - 78,1 millions $ - 175 x 131 cm - 1876.
     
    Peint par Van Gogh, Van Dongen, Utrillo..., le Moulin le plus connu et le plus cher est celui-ci. Après avoir été propriété de la famille Whitney, après avoir brièvement séjourné dans le bunker japonais de Ryoei Saito, le tableau est aujourd'hui exposé au deuxième étage du Musée d'Orsay.
     
    N° 8
      
    Le Massacre des Innocents - Rubens - 76,7 millions $ - 182 x 142 - entre 1611 et 1612.
     
    L'histoire d'une syncope. Celle d'une Viennoise lorsqu'elle apprend que l'huile dont elle veut se débarrasser est un authentique Rubens. La propriétaire s'en remet à Sotheby's Londres. Le 10 juillet 2002, le tableau est acheté par le marchand Sam Fogg sur ordre d'un richissisme anonyme qui en fait profiter tout le monde. L'œuvre est exposée à la National Gallery de Londres.
     
    N° 9
      
    Portrait de l'artiste sans barbe - Van Gogh - 71,5 millions $ - 31 X 40 cm - 1898.
     
    Le prix atteint par ce tableau est, entre autres, dû au système pileux de l'artiste qui, contrairement aux autres autoportraits, s'est peint le visage rasé. Réalisé à Saint-Rémy-de-Provence, il a été vu, pour la dernière fois, à New York en 1998.
     
    N° 10
      
    Rideau, cruchon et compotier - Cézanne - 60,5 millions $ - 72,4 x 59 - entre 1893 et 1894
     
    Ambroise Vollard, Cornelis Hoogendijk, Paul Rosenberg, Albert C. Barnes... sont les quelques riches personnalités à avoir pu admirer de très près le tableau avant qu'il soit cédé, en 1999, à la famille Whitney.

     

     Un tableau de Jackson Pollock passait des mains de David Geffen (l'homme dont la maison de disques a accueilli les œuvres de Nirvana) à celles d'un financier mexicain, David Martinez, qui l'a payé 140 millions de dollars - plus de 110 millions de nos euros. Le prix payé pour N°5 a chamboulé le classement des dix œuvres les plus chères au monde - une sorte de musée des musées dont le catalogue varie au gré d'enchères publiques ou privées. Un marché irréel par les sommes mises sur la table (ici, l'argent n'a plus la valeur du commun des consommateurs) et un marché inattendu par le flux et le reflux des toiles de maîtres qui apparaissent ou disparaissent de la circulation économique. chez Christie New York une nouvelle vente record autour d'un Picasso, le Portrait d'Angel Femandez de Soto, estimé entre 40 et 60 millions de dollars. Mais c'est un Gustav Klimt, Adèle Bloch-Bauer / l, qui a attaqué le Top 10 et atteint ce même soir la somme de 87,9 millions de dollars, se classant d'emblée à la cinquième place de la liste d'or.

    Typique d'un marché qui réagit à la rareté des œuvres, aux effets de la spéculation mais aussi à l'histoire des spoliations, la vente du Picasso a été suspendue suite à la plainte d'un Allemand prétendant que le tableau avait été volé à l'un de ses ancêtres juifs par les nazis. Au moment où nous mettons sous presse, il se peut qu'un autre tableau de maître, sorti de nulle part, fasse son apparition dans le classement, alors qu'un autre disparaît dans la nature. Car si ce musée des milliardaires est un endroit particulièrement fermé et silencieux (on ne sait pas où se trouvent certai- nes œuvres), il est aussi exposé à tous les coups de tête du secteur de l'art et à tous les caprices des collectionneurs.

     

    Google Bookmarks

    votre commentaire
  •  

    VIDEO A NE PAS MANQUER 


     http://www.ina.fr/art-et-cultu re/beaux-arts/video/PA00001235 191/yerres-exposition-gustave- caillebotte.fr.html 

     


    Les années Yerroises jouèrent un rôle essentiel dans la formation du peintre impressionniste

    Gustave Caillebotte (1848 - 1894). 

      Durant la période "Caillebotte" de 1860 à 1879, la propriété connait une nouvelle dimension esthétique.

    Le peintre y développe les thèmes des loisirs : le jardinage, le canotage et les scènes de famille...

    il travaille sur le motif et s'applique à reproduire les effets lumineux.

    La Fabrique

    désigne un élément artificiel entrant dans la composition des peintures de paysage au XVIIe siècle.

     Elle va devenir une construction réelle dans les parcs du XIXe :

     l'architecture de jardin devait reproduire un véritable tableau de peinture.

     Les fabriques en France auront souvent une double fonction : utilitaire et décoratives.

    Nombreuses dans la propriété Caillebotte, les fabriques évoquent le voyage dans les contrées du monde

    ou le retour aux sources de la civilisation.

     

    Gustave Caillebotte a 12 ans et ne s'intéresse pas encore à la peinture. Pour cet enfant, Yerres est un lieu de villégiature où il peut s'

    S'inspirant de la vie quotidienne (scènes de canotage, de jardinage...), 

    Mais derrière son souci de transposer l'instant, se manifeste déjà son intérêt pour la perspective et le cadrage qui trouvera son aboutissement dans les toiles parisiennes.

    Les principaux tableaux de la période Yerroise Portraits à la campagne, Baigneurs, Bords de l'Yerres, Canotiers ramant sur l'Yerres furent présentés aux expositions impressionnistes et suscitèrent des remarques assez vives.

    La critique s'étonna, notamment des effets de cadrage et de perspective. Cette incompréhension n'empêcha pas Caillebotte de poursuivre dans cette voie.

    .


     


     

    Les années Yerroises jouèrent un rôle essentiel dans la formation


    Gustave Caillebotte a 12 ans et ne s'intéresse pas encore à la peinture. Pour cet enfant, Yerres est un lieu de villégiature où il peut s'adonner avec ses frères, Martial et René, à la baignade, à la pêche ou au jardinage.

    Ses débuts picturaux datent de 1870.

    Jusqu'à la vente de la propriété en 1879, Gustave Caillebotte réalise environ 80 toiles, où il s'affirme en tant que peintre naturaliste et impressionnist
    S'inspirant de la vie quotidienne (scènes de canotage, de jardinage...), Caillebotte travaille sur le motif et s'applique à reproduire les effets lumin

    Mais derrière son souci de transposer l'instant, se manifeste déjà son intérêt pour la perspective et le cadrage qui trouvera son aboutissement dans les toiles parisiennes.

    Les principaux tableaux de la période Yerroise Portraits à la campagne, Baigneurs, Bords de l'Yerres, Canotiers ramant sur l'Yerres furent présentés aux expositions impressionnistes et suscitèrent des remarques assez vives.

    La critique s'étonna, notamment des effets de cadrage et

     

    Le parc paysager

    Dessiné dans la première moitié du XIXème siècle, le parc à été conçu comme un parc à l'anglaise (11 hectares). Son agencement s'inspire du Traité de la Composition et de l'Ornement des jardins de Boitard et Audot (1816).

    L'idée maîtresse consiste en un dépaysement du promeneur.

    Entrée du parc

    Ainsi les essences végétales se juxtaposent aux éléments artificiels (ponts) et aux fabriques (kiosques, orangerie, chalet suisse...).

    Au XVIIème siècle, les fabriques désignaient les petits monuments dont les artistes ornaient leurs tableaux (Poussin, Le Lorrain).

    Au XVIIème siècle, le terme n'a plus de connotation picturale exotique, tel le kiosque, mêlé à la végétation, constitue pour le promeneur une fonction utilitaire (orangerie, lavoir, chalet suisse).

    Le parc est promu site classé de l'Essonne depuis 1975. L'ensemble de la propriété est inscrit a l'inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1993.

     

    Le Casin

     

    Le Casin

    La maison d'habitation fut construite avant 1800. Ce casin, (mot italien désignant une petite maison de campagne) offre des éléments d'architecture Directoire.

    Son modèle s'inspire également des villas de la Renaissance, construites par l'architecte italien Palladio.

     


    Source Mairie de Yerres


    Google Bookmarks

    votre commentaire
  •  

    Expositions-Musées

     

    Expositions-Musées

     

     

    Expositions-Musées

    Expositions-Musées

    Expositions-Musées

     

     

    Expositions-Musées

     

    Le mot d'Harmony

    "Ce billet sera parsemé de vidéos historiques, qui sont de précieux documents

     sur les Romanoff.

    Aujourd'hui je vous propose les oeufs les plus célèbres du monde :

      les Oeufs de Fabergé sont des œufs de Pâques en

    réalisés par Pierre-Karl  Fabergé  pour le compte des tsars."

      

    Expositions-Musées

      

    Les Oeufs de Fabergé ont fait connaître dans le monde entier

    le nom de leur créateur.


    Peter-Karl Fabergé est né en 1846 à Saint-pétersbourg

    une famille de bijoutiers protestants.

    Après avoir fait son apprentissage auprès des plus grands joailliers d’Europe

    Fabergé reçoit en 1882 la médaille d’or de l’exposition Pan-Russe.

    Il se fait ainsi remarquer par la Cour et obtient le

    "Privilège de Fournisseur de la Cour" en 1884.

     

    Expositions-Musées

     

     

     

    Expositions-Musées

     

     En 1885, le tsar Alexandre III commande un œuf en joaillerie

     à la Maison Fabergé.

    Il s’agissait d’un présent destiné à son épouse l’impératrice Maria Fedorovna

     pour les fêtes de Pâques.

     C’est ainsi que Fabergé a créé le premier des célèbres "œufs de Fabergé".  

     

    Expositions-Musées

     

    Les Oeufs de Fabergé constituent une série de 52 ou 56 œufs (selon les sources)

     créés jusqu’en 1917 pour les tsars Alexandre III et Nicolas II,

     qui les offraient à leurs épouses respectives

    Maria Fedorovna et Alexandra Fedorovna


    En effet, il est de coutume, en Russie, (et chez les orthodoxes)

    d'offrir des œufs peints de vives couleurs pour Pâques

    (œufs naturels, en bois ou en pierre).

     

    Expositions-Musées


    Le premier oeuf exécuté par la Maison Fabergé en 1885 a été réalisé en or

    et décoré avec de l’émail blanc opaque. Il cachait une "surprise"

    une poule en or coloré contenant elle-même

    une réplique miniature de la couronne impériale

    et des oeufs pendentifs en rubis.

     

    Expositions-Musées

     

     

     

    Expositions-Musées


    Dès lors, Fabergé a fabriqué chaque année des œufs dans différents styles

    pour la famille impériale. Chacune de ses oeuvres était un original

    une pièce unique et renfermait une surprise extraordinaire ou un secret inattendu.

     

    Expositions-Musées

     

    Ses matériaux favoris sont les pierres semi-précieuses de l’Oural,

    comme la néphrite (sorte de jade), la bowenite, la rhodonite

     mais également le cristal de roche et l’agate;

    les émaux guillochés la plupart du temps sont réalisés avec des métaux nobles,

    dont l’or de quatre couleurs (jaune, blanc, vert et rose).

     

    Expositions-Musées

    La Maison Fabergé ouvre des filiales à Moscou, Odessa, Kiev

    et hors de Russie l’unique succursale à Londres, fournissant la famille royale

    et surtout la reine Victoria.

    faberge-8.jpg faberge-9.jpg

    Lors de l’Exposition de Stockholm, il est nommé “Fournisseur du Roi de Suède”.

     faberge-13.jpg

    En 1908, le Roi du Siam nomme Fabergé joaillier et émailleur de la Cour.

     

    Expositions-Musées

     

     

     Expositions-Musées

     

    faberge-14.jpg faberge-15.jpg 

    Fabergé est couvert de titres et de distinctions,

     le monde entier reconnait la maîtrise de son art.

     

    faberge-16.jpg faberge-17.jpg

     

    Expositions-Musées

     

     

    Expositions-Musées

     

     Les conflits politiques et sociaux de la révolution de 1917

    mettent fin à ces “frivolités".

    La Russie soviétique nationalise les ateliers et réquisitionne

     tous les biens de Karl Fabergé.

    faberge-25.jpg faberge-26.jpg

     

    Fabergé part pour la Suisse et tout espoir de retour sur sa terre natale s’effondre

     en juillet 1918, après le massacre de la famille impériale.

     et le trésor des œufs Fabergé est dispersé .

     

    Expositions-Musées

     

    Expositions-Musées

     

    Je me fais un dernier petit plaisir avec la partie 5 de cette série de vidéos

     

    faberge-18.jpg faberge-19.jpg

    Un grand nombre de pièces sont vendues plus tard en Occident, le milliardaire Forbes

    constituera la plus grande et légendaire collection de ces “œufs-joyaux“.

    faberge-20.jpg faberge-21.jpg

     

    Il décède à Lausanne le 24 septembre 1920.

     Ses enfants l’enterreront auprès de son épouse dans le cimetière français de Cannes.

    faberge-29.jpg faberge-32.jpg

    Il restera le plus grand joaillier au monde jamais égalé.

     Grâce à la générosité et la persévérance de certains mécènes russes,

     une grande partie des objets précieux réalisés par Karl Fabergé

     ont été rachetés et sont revenus en Russie.

    faberge-36.jpg faberge-34.jpg

     

    Expositions-Musées

     

     

    Va s’ouvrir en 2012, à Moscou l’unique musée consacré à Karl Fabergé.

    faberge-33.jpg

     "Je dédie ce billet à ma Yaya (petit nom pour dire mémé en grec), qui nous offrait chaque année des oeufs durs qu'elle avaient colorés".

    Sources : Art et Culture, Art Russe et autres

      

    Expositions-Musées 

     

      Pour fêter dignement ce beau décor réalisé par mon amie Fab,

    http://bacara.eklablog.com/ 

     

    champagne pour tout le monde

     

    Expositions-Musées

    et

    VIVE L'AMITIE

     

     

    Google Bookmarks

    16 commentaires
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  •  

     

     

     

    Expositions-Musées

    1710

     

    Le mot d'Harmony,

    "Les mystères de l'informatique sont pour moi impénétrables, je perds un blog, je le retrouve...Sur wordpress j'ai une esthétique nettement plus satisfaisante qu'ici, mais je passe un temps fou à faire des billets qui ne rendent pas du tout au final, ce que je voulais.......Alors ou allez??? Un billet sur la suite de l'exposition au Palais Farnèse était prêt et oupss plus rien, alors si vous voulez lire et voir la vidéo de la première partie, rendez-sur

    http://harmonynicole.wordpress.com/2011/04/02/le-palais-farnese-la-plus-belle-ambassade-de-france/

     et ceux qui ont eu accès à la première partie viendront voir la seconde partie. Oui ce n'est pas évident et je remercie ceux qui prendront le temps de la faire".

    Le Palais Farnese ouvre ses portes au public pour exposer la collection Farnese

    Outre l’intérêt des 200 oeuvres exposées, c’est l’occasion de découvrir le magnifique bâtiment Renaissance qui abrite l’ambassade de France à Rome, habituellement fermé au public.

     

    Expositions-Musées 

     

    En haut de l’escalier d’honneur, deux impressionnants Daces prisonniers veillent à l’entrée du Grand Salon.

    Le musée de Naples, la présidence de la République italienne et le château de Chambord ont prêté des tapisseries, et le musée de Louvre des dessins d’Annibal Carrache.

      

    Expositions-Musées

      

    Autre pièce remarquable de l’exposition, un portrait du pape Paul III Farnese du Titien.

    C’est ce pape qui a transformé une famille de la petite noblesse romaine en une véritable dynastie alliée aux plus grandes monarchies d’Europe

    Le palais Farnese, un joyau de l’architecture Renaissance

       Le pape Paul III l’a commandé en 1514 à l’architecte Antonio da Sangallo le Jeune. Le Palais Farnèse s’élève sur une place ornée d’énormes vasques monolithes provenant des Thermes de Caracalla et transformées en fontaines. Michel-Ange a achevé le bâtiment.

     

    A ne pas manquer

      

    Expositions-Musées

    la galerie des Carrache (1597-1608), ensemble de fresques sur les amours des dieux inspirées de Raphaël et de Michel-Ange, et la Salle des Fastes, qui sert de bureau personnel à l'ambassadeur.

      

    Expositions-Musées  

    Elle est décorée d’un plafond à caissons et de fresques de Salviati.

    Le palais romain a été loué aux ambassadeurs de France et à des  artistes, avant d’être acheté en 1911 par la France, qui l’a revendu en 1936 à l’Italie de Mussolini. Mais le palais Farnese héberge toujours l’ambassade de France puis l’Italie le lui a reloué. Le bail de 99 ans s’achève en 2036.

     
     C’est le pape Paul III Farnèse (1468-1549) qui commença à collectionner des oeuvres d’art à partir des sculptures antiques trouvées lors des  fouilles des Thermes de Caracalla à Rome en 1545. Son neveu, le cardinal Alexandre Farnese (1520-1589) a accru considérablement la collection en acquérant des sculptures antiques, des tableaux, des dessins et des gemmes.

    A la suite du mariage de la dernière des Farnèse, Elisabeth, avec Philippe V d’Espagne, petit-fils de Louis XIV, le « Museum Farnesianum » est passé définitivement en 1734 aux mains des Bourbon de Naples, qui ont dépouillé le palais romain de ses joyaux. Le petit-fils d’Elisabeth, Ferdinand IV, roi de Naples, a transféré toute la collection dans sa ville. Elle se trouve toujours aujourd’hui au Musée archéologique de Naples.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Aphrodite

     

    Annibal Carrache « le Christ et la Cananéenne »

     peint pour la chapelle privée du cardinal Odoardo

    source : France 2 culture et la plupart des photos :

    © Ambassade de France en Italie | Zeno Colantoni

     

     Profitons de ce super décor réalisé par Fab pour pendre la crémaillère

     

    Expositions-Musées

     

    et que le champagne coule à flot.....

     

    Expositions-Musées

     

    ET VIVE L' AMITIE

     

    http://bacara.eklablog.com/ 

     

    Google Bookmarks

    12 commentaires
  • Expositions-Musées

     

     

    Le mot d'Harmony

    "En tant qu'esthéte, le beau me procure de la joie, que ce beau soit produit par Dame Nature

    ou par la main de l'homme.

    C'est par amour des beaux meubles que j'ai choisi l'option Arts décoratifs,

    durant mes études en histoire de l'Art et que j'ai évolué durant une année

    dans le beau meublant

    (tout ce qui n'est pas fixe dans une demeure)."

     

     

    Expositions-Musées

     

    Frédéric Mitterrand a annoncé l’acquisition par l’État, pour le château de Versailles,

    du bureau de la Reine Marie-Antoinette, œuvre de Jean-Henri Riesener.

    Acquisition d’une œuvre d’intérêt patrimonial majeur pour Versailles

    Cette acquisition a été rendue possible grâce aux dispositions fiscales de la loi du 1er août 2003 relative au mécénat,

    aux associations et aux fondations.

     Le ministre a remercié le Groupe LVMH Moët-Hennessy - Louis Vuitton et la société Sanofi-Aventis

    pour leur action exemplaire de mécénat en faveur du château de Versailles

    et plus largement du patrimoine national.

    Un chef d’œuvre d’ébénisterie

        

    D’une absolue perfection dans son exécution, le bureau frappe par l’élégance de ses proportions,

    le raffinement de son placage de bois précieux et l’éblouissante qualité de son décor de bronze doré à l’antique

    ou à motifs floraux, si révélateurs du goût de la Reine.

     
    Chef-d'œuvre du maître ébéniste Jean-Henri Riesener,

    ce bureau avait disparu des collections royales depuis l 17.000 lots dispersés.

    Beaucoup de ces meubles sont à présent dans des résidences royales, comme en Grande-Bretagne

    ou dans de grands musées étrangers, notamment aux Etats-Unis. Mais il y en a aussi chez les collectionneurs,

    les antiquaires et dans les salles des ventes.

    Le Louvre, qui possède beaucoup de pièces, a été exempté de les rendre au Château,

    mais il a accru ses prêts à Versailles.

    Les pieds fuselés à section octogonale, les bas reliefs de bronze doré sont caractéristiques des œuvres du grand ébéniste

    comme la commode de la bibliothèque de Louis XVI.

      

    Pour mon plaisir et j'espère le vôtre je vais quelque peu le "décortiquer".


    Le bureau de Marie-Antoinette sera présenté dans le Cabinet doré de la Reine.


    Jean-Henri Riesener, l’ébéniste favori de Marie-Antoinette

    D’origine allemande, Jean-Henri Riesener (1734-1806) s’installe à Paris vers 1754

    et fait son apprentissage dans l’atelier de Jean-François Oeben.

    Devenu maître en 1768, il livre l’année suivante à Versailles le grand secrétaire à cylindre,

    dit "bureau du Roi" commandé par Louis XVI.


    En 1774, il est nommé "ébéniste ordinaire du roi" et sera pendant 10 ans, le plus grand fournisseur de la Cour.

    Ebéniste favori de Marie-Antoinette, Jean-Henri Riesener réalise pour ses appartements de Versailles

    et de Trianon des meubles novateurs : deux encoignures et une commode pour le Salon des Nobles,

    une console à desserte pour le Petit Trianon ainsi que la table à écrire livrée pour le Hameau.

    Il livre également quatre encoignures pour le salon des jeux de Louis XVI

    et la remarquable commode de la bibliothèque du roi,

    pièce dans laquelle le roi avait rassemblé les meubles les plus prestigieux.

    sources variées dont des sources gouvernementales


    Google Bookmarks

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires