• Expositions-Musées

     par Henri Decaisne 

    Alphonse de Lamartine

      Marie Louis de Prat de Lamartine (nom complet)

      Mâcon le 21 octobre 1790 - Paris le 28 février 1869

     est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique français,

     le brillant orateur  qui proclama et dirigea la Deuxième République.

     Il est l'une des plus grandes figures du romantisme en France.

    Il naît dans une famille de petite noblesse attachée au roi et à la religion catholique et à sa ville natale.  

     

    L'un des poèmes les plus célèbres des Méditations est  le Lac ,

    De 1816 à 1830, Lamartine (1790-1869) a séjourné huit fois à Aix-les-Bains.

     


    C’est au cours de son premier séjour, du 6 au 26 octobre 1816, à la Pension Perrier, qu’il rencontre la passion.
     Elle se nomme Julie Charles, de six ans son aînée, épouse de l’illustre physicien Jacques Charles.
    Julie est logée dans la chambre qui jouxte celle de Lamartine.
     Le 10 octobre 1816 celui-ci la sauve d’un naufrage au cours d’une tempête sur le lac du Bourget.
     Il écrira : «j’ai sauvé avant hier une jeune femme qui se noyait, elle remplit aujourd’hui mes jours».
    Ensemble, ils parcourent les sites du Bourget. Puis ils se séparent et se reverront à Paris.
     

    Du 21 août au 17 septembre 1817, Lamartine séjourne à la Pension Perrier.
     Julie est très malade et ne peut le rejoindre.
     C’est au cours de ce séjour qu’il compose «Le Lac», à l’intention de la chère absente.
     Dans ce poème, il donne à Julie le nom d’Elvire.
     Il emprunte ce prénom générique à Parny, poète mondain de l’époque.
     Lamartine le donne régulièrement à l’être aimé. Julie meurt le 18 décembre 1817.
     La douleur de Lamartine est terrible.
    Ainsi, Julie reste «l’inspiratrice incomparable du poète».
     «Lamartine n’est devenu Lamartine qu’après sa rencontre avec Julie» disait l’Académicien René Doumic.
     

    En 1819, il fut présenter à Miss Marianne Elisa Brich, une jeune anglaise protestante, rencontrée lors du mariage de sa sœur Césarine. Juste après il eut une liaison de cinq mois avec la Princesse Léna de Larch. Au cours du mois d’août 1819, il demanda Miss Birch en mariage lors d’une retrouvaille à Aix-les-Bains. Le château de Caramagne fut loué en 1820 à la Marquise de La Pierre, par Madame Birch, dont la fille allait devenir la femme du poète Alphonse de Lamartine. Leur contrat de mariage fut signé dans le grand salon du château le

    25 mai 1820 et la cérémonie religieuse se déroula à la Sainte-Chapelle du château ducal de Chambéry. En mars 1820 la parution des "Méditations poétiques" connaîtra un grand succès. Trois mois plus tard il se maria avec Miss Brish à Chambéry et il devient attaché d’ambassade à Naples. En 1821, le couple quitta Naples pour Rome où en février naîtra leur premier fils, Alphonse. Ils viendront ensuite s’installer au château de St Point, dans le Maçonnais où naîtra en juin de l’année suivante leur fille Julia. En novembre survint le décès de leur fils Alphonse. En 1823, il publia "La mort de Socrate" et les "Nouvelles méditations poétiques". Il vit sa demande d’admission à l’Académie Française rejetée en 1824 et cette même année il enterra ses sœurs Césarine et Suzanne. En 1825, la mort de Lord Byron, lui inspira les 2000 vers, repartis en 49 sections "Le chant du pèlerinage d’Harold". Charles X, Roi de France, lui confiera ainsi qu’a Victor Hugo, la croix de la Légion d’Honneur et sera nommé secrétaire d’ambassade à Florence puis chargé d’affaires de France en Toscane. Son retour en France en 1828, le plongea dans une grande tristesse, il écrivit "Novissima Verba" poème de désespoir, sous le tire "Mon âme est triste jusqu'à la mort".   

    Le Lac est devenu le poème immortel de l'inquiétude devant le destin,

    de l'élan vers le bonheur et de l'amour éphémère qui aspire à L'Éternité.


     

    Le lac

    Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
    Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
    Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
    Jeter l'ancre un seul jour ?

    Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
    Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
    Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
    Où tu la vis s'asseoir !

    Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
    Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
    Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
    Sur ses pieds adorés.

    Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
    On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
    Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
    Tes flots harmonieux.

    Tout à coup des accents inconnus à la terre
    Du rivage charmé frappèrent les échos ;
    Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
    Laissa tomber ces mots :

    " Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
    Suspendez votre cours :
    Laissez-nous savourer les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours !

    " Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
    Coulez, coulez pour eux ;
    Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
    Oubliez les heureux.

    " Mais je demande en vain quelques moments encore,
    Le temps m'échappe et fuit ;
    Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
    Va dissiper la nuit.

    " Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
    Hâtons-nous, jouissons !
    L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
    Il coule, et nous passons ! "

    Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
    Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
    S'envolent loin de nous de la même vitesse
    Que les jours de malheur ?

    Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
    Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
    Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
    Ne nous les rendra plus !

    Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
    Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
    Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
    Que vous nous ravissez ?

    Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
    Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
    Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
    Au moins le souvenir !

    Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
    Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
    Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
    Qui pendent sur tes eaux.

    Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
    Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
    Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
    De ses molles clartés.

    Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
    Que les parfums légers de ton air embaumé,
    Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
    Tout dise : Ils ont aimé !  


    (Recueil : Méditations poétiques)

    Les Méditations se présentent comme une sorte de rêverie mélancolique sur le thème de la foi et celui de l'amour.

     

     La fin de sa vie fut marquée par des problèmes d’argent, dus à sa générosité. Il revint un temps à ses souvenirs de jeunesse pour écrire des poèmes, mais il dut très vite revenir à du concret. La qualité de ses œuvres s’en ressenti. A la fin des années 1860, il fut quasiment ruiné et dut vendre sa propriété à Milly et accepter l’aide d’un régime qu’il réprouva. En 1867 il fut frappé d’Apoplexie et perdit la raison et l’usage de la parole. Il mourut deux ans plus tard suite à une seconde apoplexie le 28 février 1869.

       

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    Bonjour Harmonynicole,

    EklaBlog s'ennuie sans vous.
    N'oubliez pas de mettre à jour votre blog !
    Son adresse est : http://harmonynicole.eklablog.com
      
    Le mot d'Harmony
     
    Voici le mail que j'ai reçu mais c'est à vous que je veux donner quelques explications,
    concernant cette absence. 
    La raison principale est toujours cette vilaine épaule droite opérée depuis plusieurs années
     mais que ne se remettra jamais.
    La douleur est ravivée par la conduite (passage de vitesse) 
    et par tout ce qui est copié-collé, photofiltre etc...
    Une autre raison me tient un peu éloignée,
     il s'agit de la création d'une association à but humanitaire
     dont je vous parlerai lorsqu'elle paraitra au journal officiel.

     Je reprends ce jour par un billet court afin de célébrer la maternité.

        

    Pablo PICASSO  

     

    a eu quatre enfants nés de 3 femmes différentes. 

      

     

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    lithographie  La grande maternité (1963).

     

     Il s'agit de la représentation d’une mère féminine et protectrice, 

     toute en rondeurs, entièrement  tournée vers son enfant  

    et l’entourant de ses bras démesurés…  

    Ma préférée,  je l'ai admirée pour la première fois à Paris

    au musée Picasso : 

    La maternité

      

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    Pierre Auguste Renoir

    1841-1909

      

      

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    Maternité ou L'Enfant au sein de 1885

     

    "Pierre, le premier fils de Renoir, naît le 21 mars 1885.

     Au cours des mois suivants le peintre exécute une série de dessins

     et de peintures à l'huile ayant pour sujet Aline, sa future épouse,

      allaitant le nouveau-né.

     Toutes les oeuvres montrent les figures dans la même pose

     avec le petit Pierre tenant son pied dans la main."

     

     

    Berthe MORISOT (1841-1895)

     qui épousera le frère de Manet

      

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    1872 Le berceau

     

    Mary CASSATT

      

     peintre américaine, très liée avec Degas qui fera connaître

     les peintres impressionnistes aux Etats-Unis.

    La maternité était un de ses thémes de prédilection.     

     

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    Anne Geddes

      

      

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    Que j'admire, est née et a grandi à Queensland en Australie. Elle débute sa carrière de photographe à 25 ans.

    Mondialement connue pour ses mises en scène photographiques autour de l'enfance et de la maternité,

     Anne Geddes, qui travaille avec son mari Kel, vit en Nouvelle-Zélande avec ses 2 filles.

     

     

    Petite mère il y a longtemps que je ne peux plus te dire

    bonne fête maman,

     mais tu es toujours dans mon coeur.

      

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      Quant'à moi je regrette le temps ou mes enfants me disaient :

     Maman je t'aime fort à cou en me serrant très fort

    et le plus beau des cadeaux serait un

    JE T AIME MAMAN

      

      

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    Elvis A(aron) Presley

    surnommé

    The King    

     

    A l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition je ne pouvais manquer de lui rendre hommage,

     cela fut fait par un cycle.

    Le succès fut tel, que cela m'a donné l'idée de consacrer un blog à mon idole.

      

      TinyPic image

    Paroles : Diane Dufresne 1975

      

    Si tu savais , Elvis
    Tout c'que t'étais pour moé
    Avec ton coq en six
    Pis ta guitare chromée

    J'avais des shakes dans l'corps
    Quand j'entendais Hound-Dog
    Dans l'juke-box du snack-bar
    Où j'vendais des hot-dogs

    Moé qui rêvait de faire une actrice
    Pour tourner un film avec toé, Elvis
    Pour tourner un film avec toé, Elvis

    Avec ma crinoline
    Pis mes ch'veux blonds platine
    J'me prenais pour Marilyn
    Quand j'allais au drive-in

    A tous les samedis soirs
    Avec mon chum Charlie
    Qui faisait peur à voir
    Mais qui s'prenait pour toé

    Quand j'ai eu mon premier French kiss
    C'est à toé que j'pensais, Elvis
    C'est à toé que j'pensais, Elvis

    Si tu savais, Elvis
    Tout c'que t'étais pour moé
    T'étais ma vie, mon vice
    T'étais tout c'que j'aimais

    Quand j't'avais vu jouer des hanches
    Au Ed Sullivan Show
    J'avais perdu connaissance
    Tellement qu'j'avais eu chaud

    C'était moé la fondatrice
    De ton fan club de mon quartier, Elvis
    De ton fan club de mon quartier

    J't'ai donné mes quinze ans
    Ensuite j'ai faite ma vie
    Mais j'ai gardé longtemps
    Ta photo au-dessus mon lit

    Pis un jour j'ai pris un charter
    J'ai été à Las Vegas
    J'ai crié Love me tender
    Du fond du Cesar's Palace

    Ce soir là, mon p'tit torvis
    Tu m'as encore faite brailler, Elvis
    J'ai pensé qu'tu chantais pour moé

    Tu vieillis mal, Elvis
    T'aurais p't'êt dû mourir
    Comme Marilyn ou Janis
    T'avais pas l'droit d'vieillir

    Aujourd'hui y'en a des plus jeunes
    Y'en a des ben plus fous qu'toé
    Mick Jagger, Elton John
    Et pis David Bowie

    Y'en a même un qui s'appelle Alice
    Y s'en fait pus des mâles comme toé, Elvis
    Y s'en fait pus des mâles comme toé

    Love me tender, love me true
    Elvis, tu sauras jamais
    C'que t'étais pour moé
     

     

    TinyPic image

     

    "Si tu savais Elvis tout ce que tu es pour moi!!!"

                                             

    JEUNESSE 

     

    TinyPic image

     

    Elvis nait dans un 2 pièces en bois de Old Saltito Road,

    Vernon emprunta 180 $ à Orville Bean, pour construire la maison de Tupelo,

     sur la route Nord de Saltillo, lorsqu'il sut que Gladys était enceinte en 1934.

     Il a construit la maison de Tupelo avec Travis Smith

    et son père Jessee.

     C'est Billie Boyd & East Heights Garden

    qui restaurèrent la maison de Tupelo où est né Elvis.

     

    TinyPic image

    Elvis, 2 ans

     Elvis A(aron) Presley est l'unique fils de

     

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    Gladys Love Smith et de Vernon Elvis Presley.

      

     

    POUR LES FANS

    Suite (vie, films.....jusqu'à la visite de Graceland)

    sur

    http://elvis.chezblog.com  

      

    

    

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    Kikou,

    Désolée d'être si peu présente sur les blogs,

     mais je n'oublie personne

    et que ce muguet vous porte chance.

    Bisouxxx

      

      

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    Chants grégoriens pour Pâques 

     

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    VOUS SOUHAITE

      

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    IL PLEUT SUR TOULOUSE ET CHEZ VOUS?

     

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    LES CLOCHES ONT LAISSE UN JOLI PANIER GARNI

     

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    REGALEZ VOUS

      

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    QUE L'OEUF SOIT GROS

      

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    OU PETITS

      

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     A TOUS DE LA PART DE VOTRE AMIE

    HARMONY/NICOLE

      

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    N°1 - N° 5
     
    Pollock
     
    140 millions $ - peint sur panneau dur de 122 x 244 cm - 1948
     
     
     
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    Représentatif de l'école de l'action painting initiée par le peintre américain Jackson Pollock, le tableau a été adjugé à un prix astronomique. Une somme que l'on explique par la rareté des œuvres de Pollock sur le marché, l'artiste étant décédé très jeune (44 ans) dans un accident de voiture.
    Le panneau étant vernis, a pris une teinte brun clair. L'oeuvre a été réalisée par passages superposés à l'huile (noir), puis un peu de blanc, puis avec de la peinture aluminium. Et ensuite, suivant un ordre difficile à reconstituer, avec éventuellement plusieurs passages dans la même couleur, avec du rouge foncé, du brun, du jaune, du noir et enfin du blanc en surface. La couleur était plutôt déversée et égouttée en épuisement du déversement, avec plus ou moins de vigueur. Cette pratique qu'il a parfaitement utilisé dans des effets allant d'une "écriture" automatique à une relative maîtrise. Le terme "dripping", pour "égouttement" est donc inapproprié..
     
     
      
    N° 2 Adèle Block Bauer
     
    Klimt - 135 millions $ - 136 x 138 cm - 1907
     
     
    Expositions-Musées
     
     
     
    Détrôné de la première place par le Pollock, ce célèbre portrait signé Klimt a été au centre d'une longue bataille juridique entre les descendants du modèle et le gouvernement autrichien qui a fini par reconnaître que l'œuvre avait fait partie d'un lot pillé par les nazis. Nièce d'Adèle Bloch-Bauer, Maria Altman, 90 ans, fut propriétaire du tableau jusqu'à son rachat, par Ronald S. Lauder. A la tête d'un empire du cosmétique,
     
    N° 3
      
    Garçon à la pipe - Picasso 104,1 millions $ - 99,7 x 81,3 cm - 1905
     
     
     
    Expositions-Musées
     
     
     
    Chef-d'œuvre de la période rose et record pour Picasso (jusqu'ici, il n'avait atteint que 55 millions avec Femme aux bras croisés), ce Garçon appartenait à la collection de John Hay Whitney (propriétaire du Herald Tribune qui l'avait payé 26.000 dollars en 1958) et a été revendu chez Sotheby à New York par la Fondation Greentree fondée par la veuve de Whitney. En mai 2004, estimé à 70 millions de dollars, il s'est envolé à 104 millions.
     
    N° 4
      
    Dora Maar au chat - Picasso - 95,2 millions $ - 130 x 97 cm - 1941.
     
     
    Expositions-Musées
     
     
    Autre vente chez Sotheby New York , le portrait de Dora Maar entretient le mythe de l'acheteur anonyme. Représentant l'une des maîtresses célèbres de Picasso (la photographe Dora Maar), le tableau fut entre les mains de Leigh Bloch, homme d'affaires et président du Chicago Art Institute qui le céda, en 1963, pour 106.250 dollars à un collectionneur américain.
     
    N° 5
      
    Adèle Bloch-Bauer, II - Klimt - 87,9 millions $ - 120 x 190 - 1912
     
     
     
     
    Variation autour du même modèle, ce Adèle Bloch-Bauer II a été vendu la semaine dernière à New York pour la somme de 87,9 millions (on n'est pas loin d'un prix Brantano!), entrant à la cinquième place du Top 10 et déclassant la Femme aux bras croisés de Picasso. Ce tableau faisait également partie d'un ensemble d'œu- vres restituées par l'Autriche aux héritiers de la propriétaire originelle, Adèle Bloch-Bauer, l'acquéreur a tenu à garder l'anonymat.
     
    N° 6
      
     Portrait du Docteur Gachet - Van Gogh - 82,5 millions $ - 57 x 68 cm - 189
     
     
    Expositions-Musées
     
     
    Passé de mains inconnues en mains plus connues, le tableau (dont on peut voir une autre version au Musée d'Orsay à Paris) a été saisi par les nazis en 1938. Il réapparaît sur le marché français, intègre les collections Kramarsky et est exposé au Metropolitan de New York jusqu'à la disparition de madame Kramarsky, date à laquelle ses héritiers décident de le mettre en vente. Le 15 mai 1990, il prend alors le chemin du Japon où l'attend son nouveau propriétaire.
     
     N°7
      
    Le Moulin de la Galette - Renoir - 78,1 millions $ - 175 x 131 cm - 1876.
     
    Peint par Van Gogh, Van Dongen, Utrillo..., le Moulin le plus connu et le plus cher est celui-ci. Après avoir été propriété de la famille Whitney, après avoir brièvement séjourné dans le bunker japonais de Ryoei Saito, le tableau est aujourd'hui exposé au deuxième étage du Musée d'Orsay.
     
    N° 8
      
    Le Massacre des Innocents - Rubens - 76,7 millions $ - 182 x 142 - entre 1611 et 1612.
     
    L'histoire d'une syncope. Celle d'une Viennoise lorsqu'elle apprend que l'huile dont elle veut se débarrasser est un authentique Rubens. La propriétaire s'en remet à Sotheby's Londres. Le 10 juillet 2002, le tableau est acheté par le marchand Sam Fogg sur ordre d'un richissisme anonyme qui en fait profiter tout le monde. L'œuvre est exposée à la National Gallery de Londres.
     
    N° 9
      
    Portrait de l'artiste sans barbe - Van Gogh - 71,5 millions $ - 31 X 40 cm - 1898.
     
    Le prix atteint par ce tableau est, entre autres, dû au système pileux de l'artiste qui, contrairement aux autres autoportraits, s'est peint le visage rasé. Réalisé à Saint-Rémy-de-Provence, il a été vu, pour la dernière fois, à New York en 1998.
     
    N° 10
      
    Rideau, cruchon et compotier - Cézanne - 60,5 millions $ - 72,4 x 59 - entre 1893 et 1894
     
    Ambroise Vollard, Cornelis Hoogendijk, Paul Rosenberg, Albert C. Barnes... sont les quelques riches personnalités à avoir pu admirer de très près le tableau avant qu'il soit cédé, en 1999, à la famille Whitney.

     

     Un tableau de Jackson Pollock passait des mains de David Geffen (l'homme dont la maison de disques a accueilli les œuvres de Nirvana) à celles d'un financier mexicain, David Martinez, qui l'a payé 140 millions de dollars - plus de 110 millions de nos euros. Le prix payé pour N°5 a chamboulé le classement des dix œuvres les plus chères au monde - une sorte de musée des musées dont le catalogue varie au gré d'enchères publiques ou privées. Un marché irréel par les sommes mises sur la table (ici, l'argent n'a plus la valeur du commun des consommateurs) et un marché inattendu par le flux et le reflux des toiles de maîtres qui apparaissent ou disparaissent de la circulation économique. chez Christie New York une nouvelle vente record autour d'un Picasso, le Portrait d'Angel Femandez de Soto, estimé entre 40 et 60 millions de dollars. Mais c'est un Gustav Klimt, Adèle Bloch-Bauer / l, qui a attaqué le Top 10 et atteint ce même soir la somme de 87,9 millions de dollars, se classant d'emblée à la cinquième place de la liste d'or.

    Typique d'un marché qui réagit à la rareté des œuvres, aux effets de la spéculation mais aussi à l'histoire des spoliations, la vente du Picasso a été suspendue suite à la plainte d'un Allemand prétendant que le tableau avait été volé à l'un de ses ancêtres juifs par les nazis. Au moment où nous mettons sous presse, il se peut qu'un autre tableau de maître, sorti de nulle part, fasse son apparition dans le classement, alors qu'un autre disparaît dans la nature. Car si ce musée des milliardaires est un endroit particulièrement fermé et silencieux (on ne sait pas où se trouvent certai- nes œuvres), il est aussi exposé à tous les coups de tête du secteur de l'art et à tous les caprices des collectionneurs.

     

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    VIDEO A NE PAS MANQUER 


     http://www.ina.fr/art-et-cultu re/beaux-arts/video/PA00001235 191/yerres-exposition-gustave- caillebotte.fr.html 

     


    Les années Yerroises jouèrent un rôle essentiel dans la formation du peintre impressionniste

    Gustave Caillebotte (1848 - 1894). 

      Durant la période "Caillebotte" de 1860 à 1879, la propriété connait une nouvelle dimension esthétique.

    Le peintre y développe les thèmes des loisirs : le jardinage, le canotage et les scènes de famille...

    il travaille sur le motif et s'applique à reproduire les effets lumineux.

    La Fabrique

    désigne un élément artificiel entrant dans la composition des peintures de paysage au XVIIe siècle.

     Elle va devenir une construction réelle dans les parcs du XIXe :

     l'architecture de jardin devait reproduire un véritable tableau de peinture.

     Les fabriques en France auront souvent une double fonction : utilitaire et décoratives.

    Nombreuses dans la propriété Caillebotte, les fabriques évoquent le voyage dans les contrées du monde

    ou le retour aux sources de la civilisation.

     

    Gustave Caillebotte a 12 ans et ne s'intéresse pas encore à la peinture. Pour cet enfant, Yerres est un lieu de villégiature où il peut s'

    S'inspirant de la vie quotidienne (scènes de canotage, de jardinage...), 

    Mais derrière son souci de transposer l'instant, se manifeste déjà son intérêt pour la perspective et le cadrage qui trouvera son aboutissement dans les toiles parisiennes.

    Les principaux tableaux de la période Yerroise Portraits à la campagne, Baigneurs, Bords de l'Yerres, Canotiers ramant sur l'Yerres furent présentés aux expositions impressionnistes et suscitèrent des remarques assez vives.

    La critique s'étonna, notamment des effets de cadrage et de perspective. Cette incompréhension n'empêcha pas Caillebotte de poursuivre dans cette voie.

    .


     


     

    Les années Yerroises jouèrent un rôle essentiel dans la formation


    Gustave Caillebotte a 12 ans et ne s'intéresse pas encore à la peinture. Pour cet enfant, Yerres est un lieu de villégiature où il peut s'adonner avec ses frères, Martial et René, à la baignade, à la pêche ou au jardinage.

    Ses débuts picturaux datent de 1870.

    Jusqu'à la vente de la propriété en 1879, Gustave Caillebotte réalise environ 80 toiles, où il s'affirme en tant que peintre naturaliste et impressionnist
    S'inspirant de la vie quotidienne (scènes de canotage, de jardinage...), Caillebotte travaille sur le motif et s'applique à reproduire les effets lumin

    Mais derrière son souci de transposer l'instant, se manifeste déjà son intérêt pour la perspective et le cadrage qui trouvera son aboutissement dans les toiles parisiennes.

    Les principaux tableaux de la période Yerroise Portraits à la campagne, Baigneurs, Bords de l'Yerres, Canotiers ramant sur l'Yerres furent présentés aux expositions impressionnistes et suscitèrent des remarques assez vives.

    La critique s'étonna, notamment des effets de cadrage et

     

    Le parc paysager

    Dessiné dans la première moitié du XIXème siècle, le parc à été conçu comme un parc à l'anglaise (11 hectares). Son agencement s'inspire du Traité de la Composition et de l'Ornement des jardins de Boitard et Audot (1816).

    L'idée maîtresse consiste en un dépaysement du promeneur.

    Entrée du parc

    Ainsi les essences végétales se juxtaposent aux éléments artificiels (ponts) et aux fabriques (kiosques, orangerie, chalet suisse...).

    Au XVIIème siècle, les fabriques désignaient les petits monuments dont les artistes ornaient leurs tableaux (Poussin, Le Lorrain).

    Au XVIIème siècle, le terme n'a plus de connotation picturale exotique, tel le kiosque, mêlé à la végétation, constitue pour le promeneur une fonction utilitaire (orangerie, lavoir, chalet suisse).

    Le parc est promu site classé de l'Essonne depuis 1975. L'ensemble de la propriété est inscrit a l'inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1993.

     

    Le Casin

     

    Le Casin

    La maison d'habitation fut construite avant 1800. Ce casin, (mot italien désignant une petite maison de campagne) offre des éléments d'architecture Directoire.

    Son modèle s'inspire également des villas de la Renaissance, construites par l'architecte italien Palladio.

     


    Source Mairie de Yerres


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    Le mot d'Harmony

    "Ce billet sera parsemé de vidéos historiques, qui sont de précieux documents

     sur les Romanoff.

    Aujourd'hui je vous propose les oeufs les plus célèbres du monde :

      les Oeufs de Fabergé sont des œufs de Pâques en

    réalisés par Pierre-Karl  Fabergé  pour le compte des tsars."

      

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    Les Oeufs de Fabergé ont fait connaître dans le monde entier

    le nom de leur créateur.


    Peter-Karl Fabergé est né en 1846 à Saint-pétersbourg

    une famille de bijoutiers protestants.

    Après avoir fait son apprentissage auprès des plus grands joailliers d’Europe

    Fabergé reçoit en 1882 la médaille d’or de l’exposition Pan-Russe.

    Il se fait ainsi remarquer par la Cour et obtient le

    "Privilège de Fournisseur de la Cour" en 1884.

     

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     En 1885, le tsar Alexandre III commande un œuf en joaillerie

     à la Maison Fabergé.

    Il s’agissait d’un présent destiné à son épouse l’impératrice Maria Fedorovna

     pour les fêtes de Pâques.

     C’est ainsi que Fabergé a créé le premier des célèbres "œufs de Fabergé".  

     

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    Les Oeufs de Fabergé constituent une série de 52 ou 56 œufs (selon les sources)

     créés jusqu’en 1917 pour les tsars Alexandre III et Nicolas II,

     qui les offraient à leurs épouses respectives

    Maria Fedorovna et Alexandra Fedorovna


    En effet, il est de coutume, en Russie, (et chez les orthodoxes)

    d'offrir des œufs peints de vives couleurs pour Pâques

    (œufs naturels, en bois ou en pierre).

     

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    Le premier oeuf exécuté par la Maison Fabergé en 1885 a été réalisé en or

    et décoré avec de l’émail blanc opaque. Il cachait une "surprise"

    une poule en or coloré contenant elle-même

    une réplique miniature de la couronne impériale

    et des oeufs pendentifs en rubis.

     

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    Dès lors, Fabergé a fabriqué chaque année des œufs dans différents styles

    pour la famille impériale. Chacune de ses oeuvres était un original

    une pièce unique et renfermait une surprise extraordinaire ou un secret inattendu.

     

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    Ses matériaux favoris sont les pierres semi-précieuses de l’Oural,

    comme la néphrite (sorte de jade), la bowenite, la rhodonite

     mais également le cristal de roche et l’agate;

    les émaux guillochés la plupart du temps sont réalisés avec des métaux nobles,

    dont l’or de quatre couleurs (jaune, blanc, vert et rose).

     

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    La Maison Fabergé ouvre des filiales à Moscou, Odessa, Kiev

    et hors de Russie l’unique succursale à Londres, fournissant la famille royale

    et surtout la reine Victoria.

    faberge-8.jpg faberge-9.jpg

    Lors de l’Exposition de Stockholm, il est nommé “Fournisseur du Roi de Suède”.

     faberge-13.jpg

    En 1908, le Roi du Siam nomme Fabergé joaillier et émailleur de la Cour.

     

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    faberge-14.jpg faberge-15.jpg 

    Fabergé est couvert de titres et de distinctions,

     le monde entier reconnait la maîtrise de son art.

     

    faberge-16.jpg faberge-17.jpg

     

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     Les conflits politiques et sociaux de la révolution de 1917

    mettent fin à ces “frivolités".

    La Russie soviétique nationalise les ateliers et réquisitionne

     tous les biens de Karl Fabergé.

    faberge-25.jpg faberge-26.jpg

     

    Fabergé part pour la Suisse et tout espoir de retour sur sa terre natale s’effondre

     en juillet 1918, après le massacre de la famille impériale.

     et le trésor des œufs Fabergé est dispersé .

     

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    Je me fais un dernier petit plaisir avec la partie 5 de cette série de vidéos

     

    faberge-18.jpg faberge-19.jpg

    Un grand nombre de pièces sont vendues plus tard en Occident, le milliardaire Forbes

    constituera la plus grande et légendaire collection de ces “œufs-joyaux“.

    faberge-20.jpg faberge-21.jpg

     

    Il décède à Lausanne le 24 septembre 1920.

     Ses enfants l’enterreront auprès de son épouse dans le cimetière français de Cannes.

    faberge-29.jpg faberge-32.jpg

    Il restera le plus grand joaillier au monde jamais égalé.

     Grâce à la générosité et la persévérance de certains mécènes russes,

     une grande partie des objets précieux réalisés par Karl Fabergé

     ont été rachetés et sont revenus en Russie.

    faberge-36.jpg faberge-34.jpg

     

    Expositions-Musées

     

     

    Va s’ouvrir en 2012, à Moscou l’unique musée consacré à Karl Fabergé.

    faberge-33.jpg

     "Je dédie ce billet à ma Yaya (petit nom pour dire mémé en grec), qui nous offrait chaque année des oeufs durs qu'elle avaient colorés".

    Sources : Art et Culture, Art Russe et autres

      

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      Pour fêter dignement ce beau décor réalisé par mon amie Fab,

    http://bacara.eklablog.com/ 

     

    champagne pour tout le monde

     

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    et

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    1710

     

    Le mot d'Harmony,

    "Les mystères de l'informatique sont pour moi impénétrables, je perds un blog, je le retrouve...Sur wordpress j'ai une esthétique nettement plus satisfaisante qu'ici, mais je passe un temps fou à faire des billets qui ne rendent pas du tout au final, ce que je voulais.......Alors ou allez??? Un billet sur la suite de l'exposition au Palais Farnèse était prêt et oupss plus rien, alors si vous voulez lire et voir la vidéo de la première partie, rendez-sur

    http://harmonynicole.wordpress.com/2011/04/02/le-palais-farnese-la-plus-belle-ambassade-de-france/

     et ceux qui ont eu accès à la première partie viendront voir la seconde partie. Oui ce n'est pas évident et je remercie ceux qui prendront le temps de la faire".

    Le Palais Farnese ouvre ses portes au public pour exposer la collection Farnese

    Outre l’intérêt des 200 oeuvres exposées, c’est l’occasion de découvrir le magnifique bâtiment Renaissance qui abrite l’ambassade de France à Rome, habituellement fermé au public.

     

    Expositions-Musées 

     

    En haut de l’escalier d’honneur, deux impressionnants Daces prisonniers veillent à l’entrée du Grand Salon.

    Le musée de Naples, la présidence de la République italienne et le château de Chambord ont prêté des tapisseries, et le musée de Louvre des dessins d’Annibal Carrache.

      

    Expositions-Musées

      

    Autre pièce remarquable de l’exposition, un portrait du pape Paul III Farnese du Titien.

    C’est ce pape qui a transformé une famille de la petite noblesse romaine en une véritable dynastie alliée aux plus grandes monarchies d’Europe

    Le palais Farnese, un joyau de l’architecture Renaissance

       Le pape Paul III l’a commandé en 1514 à l’architecte Antonio da Sangallo le Jeune. Le Palais Farnèse s’élève sur une place ornée d’énormes vasques monolithes provenant des Thermes de Caracalla et transformées en fontaines. Michel-Ange a achevé le bâtiment.

     

    A ne pas manquer

      

    Expositions-Musées

    la galerie des Carrache (1597-1608), ensemble de fresques sur les amours des dieux inspirées de Raphaël et de Michel-Ange, et la Salle des Fastes, qui sert de bureau personnel à l'ambassadeur.

      

    Expositions-Musées  

    Elle est décorée d’un plafond à caissons et de fresques de Salviati.

    Le palais romain a été loué aux ambassadeurs de France et à des  artistes, avant d’être acheté en 1911 par la France, qui l’a revendu en 1936 à l’Italie de Mussolini. Mais le palais Farnese héberge toujours l’ambassade de France puis l’Italie le lui a reloué. Le bail de 99 ans s’achève en 2036.

     
     C’est le pape Paul III Farnèse (1468-1549) qui commença à collectionner des oeuvres d’art à partir des sculptures antiques trouvées lors des  fouilles des Thermes de Caracalla à Rome en 1545. Son neveu, le cardinal Alexandre Farnese (1520-1589) a accru considérablement la collection en acquérant des sculptures antiques, des tableaux, des dessins et des gemmes.

    A la suite du mariage de la dernière des Farnèse, Elisabeth, avec Philippe V d’Espagne, petit-fils de Louis XIV, le « Museum Farnesianum » est passé définitivement en 1734 aux mains des Bourbon de Naples, qui ont dépouillé le palais romain de ses joyaux. Le petit-fils d’Elisabeth, Ferdinand IV, roi de Naples, a transféré toute la collection dans sa ville. Elle se trouve toujours aujourd’hui au Musée archéologique de Naples.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Aphrodite

     

    Annibal Carrache « le Christ et la Cananéenne »

     peint pour la chapelle privée du cardinal Odoardo

    source : France 2 culture et la plupart des photos :

    © Ambassade de France en Italie | Zeno Colantoni

     

     Profitons de ce super décor réalisé par Fab pour pendre la crémaillère

     

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    et que le champagne coule à flot.....

     

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    http://bacara.eklablog.com/ 

     

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