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En Inde le mariage arrangé n'est pas mort, loin sans faut.
Une étude sociologique montre que 93% des Indiens vivant en milieu urbain avaient eu un mariage arrangé.
ce qui signifie généralement que la rencontre est initiée par les familles.
Revenons sur la définition d’un mariage arrangé, car elle donne lieu à de nombreux malentendus à l’étranger.Mariage arrangé ne signifie pas mariage forcé.Les mariages forcés existent bien sûr, en Inde comme dans d’autres sociétés traditionnelles,mais, dans la plupart des cas aujourd’hui, et surtout en ville, les futurs conjoints consentent au choix de leur partenaire.L’union est arrangée dans le sens où les familles identifient celui qui partagera la vie de leur enfant,et que l’on fait ensuite les présentations avant de se décider à franchir le pas.Généralement, les futurs époux peuvent refuser d’aller plus loin après ces premières rencontres,et les familles chercheront alors d’autres candidats.Les choses ne se passent pas toujours en douceur,mais tout de même nous sommes loin de la terrible réalité des mariages forcés.Les jeunes Indiens continuent de se marier comme leurs grands-parents.
Célébrations, couleurs, danses, chants et prières sont au rendez-vous de tous les mariages indiens. Véritable rite de passage, les futurs mariés indiens se vouent une véritable compétition pour célébrer le plus beau mariage qui soit.Qu’il soit célébré selon les traditions hindoues, sikhes ou musulmanes,un mariage indien se distingue toujours par sa féérie et son faste.Or, derrière ce faste du mariage indien, traduit par des costumes traditionnels somptueux,de la musique et des danses entraînantes, se cachent de traditions millénaires.le mariage indien est plus une alliance entre deux familles,souvent de même rang social ou de même caste, qu’une affaire de cœurentre de simples jeunes gens amoureux.
Célébrations, couleurs, danses, chants et prières sont au rendez-vous de tous les mariages indiens. Véritable rite de passage, les futurs mariés indiens se vouent une véritable compétition pour célébrer le plus beau mariage qui soit.
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LA CEREMONIE DU MARIAGE
Les traditions
En Inde, le mariage est encore aujourd'hui l'un des moments les plus importants de la vie d'une femme et d'un homme. Les célébrations durent plusieurs jours et incluent un nombre impressionnant de traditions et de rites ancrés dans la culture hindouiste depuis des centaines d'années.
Les mariages traditionnels varient en fonction de la caste et de la religion des mariés mais certaines traditions sont ancrées dans la culture.Le déroulement du mariage traditionnel Hindou
Le mariage Hindou est encore de nos jours bien souvent un mariage arrangé entre deux familles. Celles-ci se rencontrent lors du "nichayadartham", jour qui marque le début de leur union. S'en suit des négociations afin de déterminer le montant de la dot de la mariée mais surtout la compatibilité du futur couple. Les hindous, peuple croyant, ne préparent pas cet événement sans faire appel à un voyant qui détermine la date la plus favorable pour célébrer l'union des deux futurs époux. Généralement, les célébrations ont lieu entre mai et juin et entre novembre et février.
La date fixée, les préparatifs du mariage peuvent commencer. Les familles ont un rôle primordial pendant la cérémonie, les frères et soeurs des mariés participants activement aux festivités.
Quelques jours avant la célébration du mariage, les familles se retrouvent pour fêter le future union grâce à des chansons et des danses. Un véritable spectacle de couleurs, de musiques et de danses enflammés voit alors le jour sous les yeux amusés des convives.
La veille du mariage, la femme se pare de dessins réalisés au henné sur ses pieds et ses mains. Véritable instrument de beauté, ces dessins doivent mettre en valeur la féminité de la future mariée.
La cérémonie religieuse peut durer plusieurs heures et prend fin lorsque le prêtre unit oralement le couple.
Les futurs mariés échangent ensuite une guirelande de fleurs qui signifie leur lien pour l'avenir et le désir de s'unir à vie. Cette étape de la cérémonie peut remplacer l'échange des alliances.
Pour que l'union entre les deux soit officielle, le père offre sa fille à son futur époux. Pour ce faire, il verse symboliquement de l'eau sur leurs mains enlacées.
Pour sceller le mariage, le couple doit tourner sept fois autour d'un feu considéré comme un témoin sacré. Chaque tour signifie une nouvelle promesse faite par le couple pour que leur union soit la plus prospère et la plus heureuse.
La femme se voit ensuite enduire les cheveux de poudre de couleur rouge signifiant aux yeux de tous qu'elle est mariée.
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Mon amie, ma Fab
Tu es force, courage et gentillesse, tu souffres tant de maux que mes mots n'appaiseront jamais,
cependant je te dédie une chanson qui me tient beaucoup à coeur.
C'est Elvis Presley qui chante et elle m'avait été adressée
et traduite par un ami qui n'est plus là hélas.
Le texte convient me semble t il aussi bien à l'amour que l'amitié
Quand tu es fatiguée, que tu te sens petite,
Quand les larmes sont dans tes yeux,
Je les sécherais toutes,
Je suis de ton côté, oh, quand les temps sont durs,
Et des amis ne peuvent tout simplement pas être trouvés,
Comme un pont sur une eau trouble,
Je vais me coucher,
Oh, comme un pont sur une eau trouble,
Je vais me coucher,
Quand tu es en bas et dehors, quand tu es dans la rue,
Quand le soir tombe si fort, je vais te réconforter,
Je prendrai ta part quand l'obscurité tombera
et que la douleur sera partout
Oui, comme un pont sur une eau trouble,
Je vais me coucher,
Oh, comme un pont sur une eau trouble,
Je vais me coucher,
Ton temps est venu de briller,
Tous tes rêves sont en route,
Vois comme ils brillent,
Oh, si tu as besoin d'un ami,
Je navigue derrière,
Oui, comme un pont sur une eau trouble,
Moi je vais apaiser ton esprit,
Comme un pont sur une eau trouble,
Je vais t'apaiser.
Que ces lumières réchauffent ton coeur
Vers la
Je vous confie mon amie Fabienne,
Vierge MARIE
Ton amie Harmony
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Valentin le Désossé, de son vrai nom Jules Étienne Edme Renaudin
(Paris, 26 février 1843 – Sceaux, 4 mars 1907), fut un danseur et contorsionniste français célèbre.
“Valentin fit ses débuts, en 1860, au Moulin de la Galette. Valentin qui pendant sa longue carrière,
exécuta plus de 90 000 danses, continua à soulever l’admiration des foules par la sureté de son bras,
la prodigieuse agilité de son pied et la variété d’attitudes dont il savait orner une valse
au point de la transformer en véritable symphonie des langueurs amoureuses.
“Valentin le roi des Danseurs“
Jeanne AVRIL décrit Valentin :
“Valentin de son vrai nom Jules RENAUDIN est aujourd’hui la personnalité
la plus intéressante des bals publics. Un homme grand, maigre, flottant dans sa redingote noire;
une face glabre marquée par la longueur de son nez, obscurcie par la minceur des yeux; masque triste.
La date de ses débuts lui impose un âge respectable, sans lui enlever de sa vigueur physique,
ni de son prestige auprès des femmes. Les hommes le vénèrent, et les filles l’adorent.
Il est comme le grand maître des chevaliers servis de la place Blanche.
Mais ce qui rend sa vie particulièrement digne d’admiration, c’est que,
pour jouir largement de l’existence, Valentin n’a pas besoin des bienfaits dont il est accablé
par le sexe faible de Montmartre et autres lieux. il est riche, et son frère exerce honorablement,
non loin de Paris, les pudibondes fonctions de notaire.
Si donc Valentin se comptait dans la position sociale qu’il doit à ses talents
autant qu’à ses qualités morales, c’est uniquement par amour de l’art, par dilettantisme, disons mieux,
pour affirmer la supériorité du mâle sur le miché.
Le surnom de Valentin remonte à ses premiers pas.
En ce temps-là courrait dans les bastringues une chanson dont le refrain disait:
“Ah! Valentin, verse, verse!/ Ah Valentin / Verse sans fin !”
La facilité avec laquelle le jeune danseur dégustait les saladiers de vin sucré
offerts conformément à l’usage lui valu dès lors l’attribution de ce vocable fameux.
Quant à l’épithète Désossé, elle est de date beaucoup plus récente.
C’est Mermeix qui le premier, la lui appliqua, le lendemain de sa rentrée au Jardin de Paris en 1885.
Le titre était bien trouvé; il resta consacré par le public “.
Au Moulin Rouge pour le Cancan avec la Goulue en 1880
Ce sont deux grands artistes. Elle tourne, que dis-je ?
Elle tourbillonne autour de lui avec une rapidité si vertigineuse – et si aisée ; il la soutient,
il la guide dans un caprice de pas sans cesse rompus et entrecroisés, avec une si impeccable sûreté ;
l’harmonie de leurs mouvements est si parfaite que, si vous espérez jamais voir une grâce plus précise unie à une force plus souple…,
inutile de chercher, vous ne trouverez pas… »
Leur “Valse 1900“ et leur “Polka endiablée“ firent accourir le “Tout Paris“.
Avec sa silhouette longiligne et son extraordinaire souplesse, Valentin-Le-Désossé était l’un des piliers des nuits parisienne.
Grand, maigre, osseux, rasé, blafard et blême, la tête en forme de rasoir et anguleuse comme un Rochefort maigre, si J’ose dire,
il était en effet fort souple et était l’un des exécutants, sinon des inventeurs, les plus épatants de cette fameuse valse tourbillonnante,
qui, faisait l’admiration des étrangers et des étudiants fraîchement débarqués de leur province.
Au bout de deux minutes, les jambes écartées, il arrivait que sa danseuse valsait entre ses jambes et comme de l’autre côté,
à tel point que l’on se pouvait se demander comment ils pouvaient bien faire pour arriver à tourner et à se tenir en équilibre.
Cependant, après un dernier tourbillon, il remettait sa danseuse en place de ses larges mains osseuses
et s’arrêtait comme si de rien n’était aux applaudissements de la foule.
«Il fut une physionomie sympathique acrobate émérite, ingénieux caricaturiste pour ainsi dire de la danse,
créateur d’une chorégraphie spéciale, cet habitué nocturne des lieux de plaisir devenait au jour,
un commerçant laborieux,consciencieux, prévoyant.«
Au dire de ceux qui l’ont connu, «il s’amusa» honnêtement, joyeusement; il ne fut jamais un professionnel.
La grande guerre fera oublier cette époque, et ce n’est qu’au cours des années 1930 que l’on commencera à se souvenir de la
"Belle Époque"
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Cette villa dont vous avez certainement entendu parlé dans les actualités
je me propose de vous en raconter l'histoire.
(le couple présidentiel y a reçu le président Chinois Xxi Jinping et son épouse pour un dîner)
Cette demeure me fut révélée par mon professeur d'Antique à la fac d'histoire de l'art.
La villa Kérylos à Beaulieu sur mer et son propriétaire : Théodore Reinach
Kérylos signifie "alcyon" ou "hirondelle de mer", oiseau poétique de la mythologie,
qui annonçait un présage heureux.
Cette remarquable réalisation est avant tout l'oeuvre de Théodore Reinach,
homme aux multiples facettes et à la curiosité sans limite.
Théodore Reinach en 1913
Né en 1860 dans une famille de banquiers d'origine allemande, il montre très jeune,
des capacités intellectuelles exceptionnelles, il sera juriste, historien, homme politique…
Sa passion pour l'Antiquité grecque en fera l'un des plus importants hellénistes du siècle.
De sa rencontre avec l'architecte Emmanuel Pontremoli naît une oeuvre architecturale
qui plonge le visiteur dans la civilisation grecque : meubles, vaisselle, tissus, décors..
La villa est l'aboutissement d'une rechercher à la fois artistique et intellectuelle.
Sa construction emploie les matériaux les plus précieux :
stucs à l'antique, marbres de Carrare et bois exotiques pour le mobilier.
La décoration est somptueuse : mosaïques et fresques inspirées de scènes célèbres
illustrant les grandes légendes des dieux et des héros classiques.
La villa s'organise autour du péristyle, vaste cour intérieure entourée de 12 colonnes en marbre de Carrare.
Au rez de chaussée se trouvent les pièces d'apparat (salon, salle à manger, thermes, bibliothèque)
tandis que les chambres et salles de bain privées se situent à l'étage.
Chambre de Théodore
Théodore Reinach vient y passer ses vacances avec sa famille.
A sa mort, en 1928, il lègue la villa à l'Instituts de France dont il est membre.
Ses enfants et petits enfants continuent à habiter la villa jusqu'en 1966, date à laquelle elle est classé monument historique.
Quelques autres photos
Thermes
Chambre de madame
https://www.ina.fr/video/I00011966
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L’un de ces célèbres dessins animés, sorti des studios Disney aux États-Unis en 1941 sous le titre Dumbo,
et en 1947 en France sous le titre de Dumbo, l’éléphant volant, est connu dans le monde entier.
Il fut présenté au Festival de Cannes la même année et remporta le Grand Prix du dessin animé.
Le film, en partie inspiré d’un livre pour enfants paru en 1939, est une sorte de remake du Vilain Petit Canard
dans lequel le héro à plumes est remplacé par un éléphanteau.
Ce dernier est apporté par une cigogne égarée à Mme Jumbo,
une éléphante appartenant à un cirque qui se déplace en train de ville en ville.
Affublé d’oreilles démesurées, son petit est l’objet de toutes les moqueries.
Le reste de la troupe le surnomme ainsi Dumbo…..
Derrière l’œuvre de Disney se cache en fait l’histoire d’un éléphant de cirque
qui a réellement existé à l’époque victorienne.
Il est né à la fin de l’année 1860 ou début 1861 au Soudan (ou Mali selon les sources).
Après que sa mère a été tuée devant lui par des chasseurs,
l’éléphanteau décharné est acheté par Lorenzo Casanova, un marchand d’animaux italien,
qui l’expédie par bateau en Europe.
D’abord vendu à une ménagerie ambulante en Allemagne,
il échoue en 1862 à la Ménagerie du Jardin des plantes à Paris.
Il est pendant un temps le seul éléphant d’Afrique en France et même en Europe,
aucun autre n’ayant jusqu’alors survécu au voyage.
L’animal solitaire est acquis par le zoo de Londres en 1865, où il arrive en mauvaise santé.
Il y devient très populaire auprès de la haute société, en particulier des enfants,
qu’il divertit par des promenades et en se laissant nourrir de friandises.
Durant seize années, sous la houlette de son gardien, Matthew Scott, il transporte ainsi des milliers d’enfants,
dont Winston Churchill, Théodore Roosevelt et, paraît-il, les enfants de la reine Victoria en toute discrétion.
En grandissant, il atteint sa célèbre taille (près de 4 m de haut).
Le nom qui lui a été donné — Jumbo — passera à la postérité
en désignant par extension ce qui est de grande dimension.
Mais en coulisse, le tableau n’est pas aussi reluisant.
L’éléphant, qui ne s’est probablement jamais remis du traumatisme de la mort de sa mère
et de l’arrachement à sa terre natale, est sévèrement maltraité pour le rendre toujours plus docile.
Jumbo, en pleine adolescence car ayant atteint l’âge de la maturité sexuelle,
est de plus en plus agité et difficile à contrôler.
Il souffre de claustrophobie et des attaques de rats dans le box exigu dans lequel il est enfermé.
Ses défenses seront tronquées car il se jette contre les murs la nuit.
Pire encore, son gardien Matthew Scott l’assomme avec de l’alcool
(un tonneau de bière par jour et du scotch…).
Abraham Bartlett, surintendant du zoo, craignant pour la sécurité des visiteurs et du personnel,
et désireux de ménager la pudeur victorienne
(démonstrations explicites résultant des montées de testostérone de l’éléphant), envisage de l’abattre.
Ayant vent de l’affaire, le directeur de cirque américain Phineas Barnum
propose à Bartlett de lui acheter Jumbo. La vente, conclue en 1882 pour un faible prix,
sera très décriée dans l’opinion publique anglaise (lettres de 100 000 écoliers à la reine Victoria,
pétitions au Parlement, articles dans la presse, procès contre le zoo londonien, etc.).
Jumbo est donc contraint une nouvelle fois de changer de continent.
Terrifié, enchaîné et enfermé dans une caisse, Jumbo hurlera pendant les deux semaines
de traversée en bateau à vapeur jusqu’à New York,
excepté lorsqu’il sera imbibé de bière et de whisky par Matthew Scott
ou nourri de canapés et de champagne par les passagers de première classe.
Dès son arrivée, il intègre avec son gardien le Greatest Show on Earth,
le gigantesque cirque ambulant aux trois pistes de Barnum et Bailey qui se déplace à travers l’Amérique du Nord
par voie ferrée avec ses 80 wagons.
Un wagon spécial lui est même réservé, rouge et or, avec l’inscription Jumbo’s Palace Car.
Il est l’attraction phare et sa renommée est désormais mondiale.
Grâce à lui, Barnum aura créé le spectacle de cirque le plus lucratif de tous les temps (20 millions de spectateurs).
Étrangement, son comportement change. Il est beaucoup plus calme.
Cela est probablement dû au fait qu’il s’est retrouvé au milieu d’un troupeau d’éléphants chez Barnum
et qu’il ne souffrait plus de solitude.
A partir de l’automne 1883, la santé de Jumbo décline, de même que les affaires de Phineas Barnum.
Ce dernier est également dans le collimateur de la Société américaine pour la prévention de la cruauté
envers les animaux (ASPCA). En 1885, l’éléphant est toujours malade.
Il meurt le 15 septembre à St. Thomas en Ontario (Canada), heurté par un train.
Matthew Scott posant près de la dépouille de Jumbo.
(photo prise le 16 septembre 1885, le lendemain de la mort de Jumbo à St. Thomas.)
Les circonstances réelles de la mort de Jumbo sont incertaines,
des versions différentes ayant été relatées par Barnum, Scott, d’éventuels témoins, ou dans les journaux.
La version « officielle », soutenue par Barnum, voudrait que Jumbo se soit précipité devant le train
pour sauver héroïquement un jeune éléphant de la troupe.
Une autre, par exemple, raconte que la locomotive a déraillé en heurtant le jeune éléphant
et qu’elle aurait ensuite fauché Jumbo.
Par Tim Burton
La chaîne BBC One a diffusé un documentaire sur la vie et la mort de Jumbo
au travers des archives
et des études faites par des spécialistes sur les ossements conservés au
Muséum d’histoire naturelle de New York,
nous apportent quelques précisions ou éléments nouveaux :
Tout d’abord, les accès de rage nocturnes de Jumbo,
à l’époque où il se trouvait au zoo de Londres,
seraient dus principalement ou en partie à d’importants problèmes dentaires.
C’est une alimentation inadaptée depuis son plus jeune âge qui en est la cause.
Comme chez les humains, les douleurs dentaires sont exacerbées la nuit chez les animaux.
Ensuite, les mesures prises sur son squelette ont permis de confirmer que cet éléphant était très grand,
certainement pas le plus grand éléphant du monde comme cela a été dit à l’époque
mais environ 20 % plus grand que la taille moyenne pour un éléphant de cet âge-là.
Par ailleurs, sa croissance osseuse n’était pas achevée. Les prélèvements faits sur la queue Jumbo,
qui a échappé à la destruction et a été conservée jusqu’à aujourd’hui, attestent que son métabolisme
était bien celui d’un éléphant malade.Enfin, les ossements de Jumbo ne montrent pas de signes d’un choc violent
et frontal avec la locomotive du train, ce qui écarte définitivement la version héroïque de sa mort,
soutenue par Barnum. De plus, une ancienne gravure jusqu’ici méconnue, représentant l’accident
et la fin tragique de l’éléphant, le montre se faisant heurter par l’arrière et du côté droit par la locomotive.
Il est le seul éléphant sur les rails et se trouve de dos lorsque le train arrive.
Cette vision de l’accident est très certainement la plus proche de la réalité car elle cadre tout à fait
avec les lacérations qui sont bien visibles sur les photos prises de la dépouille de Jumbo.
On apprend également qu’il n’a pas été tué sur le coup mais a rendu son dernier soupir un peu plus tard.
Un mystère demeure cependant, qui ne sera probablement jamais élucidé :
la présence de Jumbo était-elle fortuite sur la voie de chemin de fer ou bien a-t-il été conduit là volontairement ?
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1942
En 1899, Louis Fouquet s’installe au 99 avenue des Champs-Elysées,
en rachetant un estaminet de cochers situé à l’angle de l’avenue George V.
A l’instar de Maxime Gaillard lequel a anglicisé son prénom en créant le restaurant Maxim’s,
Louis Fouquet ajoute un "s" pour baptiser son débit de boisson.
(au numéro 99 se trouve l'unique commerce autorisé, le café The Criterion,
où s'arrêtent les cochers de fiacre de retour ou en attente d'une course à Longchamp.)
Un certain Louis Fouquet, gendre de monsieur Tabary, propriétaire du célèbre restaurant Maire,
cherche à exploiter le carnet d'adresses de son beau-père.
Devinant une clientèle potentielle chez les habitants des riches hôtels particuliers
de l'avenue en plein développement, il acquiert The Criterion en 1899 (1902, disent certains).
L'enseigne affiche "American drinks, cocktails" et propose des "grillades à la britannique"
facturées très cher, snobisme oblige. Le lieu est rebaptisé Fouquet's,
1920
Demi-mondain
Lorsque Fouquet disparaît, en 1905, surgit Léopold Mourier, ancien de chez Maire.Des travaux somptuaires, de l'acajou à tout-va et le parti pris d'une cuisine élaborée
consacrent l'adresse que se met à fréquenter le Tout-Paris politique (Raymond Poincaré),
demi-mondain (Liane de Pougy), haute couture (Poiret), aviateur (Santos-Dumont atterrit en face),
automobiliste (Bugatti), théâtral (Brasseur), littéraire (Colette), musical (Rubinstein), militaire (Lyautey)
et cosmopolite (l'Aga Khan). Selon le dramaturge et réalisateur Yves Mirande,
le mouvement dada y serait né. En 1913, Theodore Roosevelt y déjeune avec Aristide Briand,
sans empêcher la guerre pour autant. Tournedos Rossini, sole au champagne, bécasse flambée,
soufflé Grand Marnier y font un malheur. Seul bémol: un petit écriteau prévient que
"les dames seules ne sont pas admises au bar". Un coup à se mettre à dos les garçonnes de jadis
et le MLF de naguère. L'interdiction est maintenue jusque dans les années 1980...
Cette interdiction se révéla utile pendant la Première Guerre mondiale.
Le bar est alors envahi par les pilotes de chasse (Navarre, Fonck, Guynemer),
venus renouer avec la vie après les combats aériens de la journée et arroser leurs victoires.
Les dames auraient été sans doute choquées par leurs excès de langage.
Joseph Kessel, soiffard s'il en fut, en tirera L'Equipage. Le bar est rebaptisé "bar de l'Escadrille".
Le journaliste et écrivain Raymond Castans rappelle à son propos un dialogue de La Grande Illusion.
"Très correct, ce cognac", constate Boëldieu (Pierre Fresnay). Réponse de Rosenthal (Marcel Dalio):
"C'est le barman du Fouquet's qui me l'a envoyé dans une bouteille d'eau dentifrice."
C'est aussi au Fouquet's que, la veille de la bataille de la Marne, le Kronprinz, sûr de sa victoire,
aurait fait retenir une table afin de sabler le champagne.
Les stars du cinéma
1930
Les années 30 sont marquées par l’avènement du cinéma parlantet l’arrivée d’une nouvelle génération d’acteurs qui contribueront à la renommée du Fouquet’s :
parmi eux, Raimu, Marlène Dietrich, Fernandel, Clouzot, Guitry…
Les artistes font du Fouquet’s leur lieu de prédilection.
C’est au cours d’un déjeuner au Fouquet’s que Jean Gabin engagera Michèle Morganpour Quai des Brumes.
Raimu en fït son bureau.
Arrivent les Années folles et à Mourier succèdent Louis Barraya et Maurice Drouant,qui s'est fait un nom dans le monde de la table avec son Drouant de la place Gaillon,
qui existe encore quatre-vingts ans plus tard, Goncourt compris.
Le Tout-Paris artistique ayant déjà adopté le Fouquet's,
il n'est pas étonnant que le cinéma y fasse son trou au moment où ses salles s'emparent des Champs.
Le monumental Raimu donne le signal en venant habiter rue de Washington.
Le Fouquet's est juste en face et devient son "bureau".
La brasserie de luxe est le lieu où se concluent à voix basse
les gros contrats de l'industrie cinématographique.
Raccourci du dialoguiste Henri Jeanson:
"Fouquet's, cet endroit où l'on discute de films dont les budgets représentent des millions,
devant des demis dont on ne sait pas comment on va les payer."
De La Belle Equipe de Duvivier (1936) à Tchao Pantin de Claude Berri (1983),
36 films y auraient été signés.
Selon le poète Léon-Paul Fargue, "Fouquet's persiste comme un organe indispensableà la bonne santé parisienne.
C'est un endroit à potins d'hommes, car les hommes sont aussi concierges que les femmes".
Le "piéton de Paris" se trompe cependant lorsqu'il ajoute:
"C'est un de ces endroits qui ne peuvent passer de mode qu'à la suite d'un bombardement, et encore!"
En effet, sans qu'aucune bombe ne tombe sur l'établissement,
celui-ci souffre de la lente décadence des Champs-Elysées au cours des années 1960 et 1970.
La mode est passée sur la rive gauche. Le Fouquet's n'est pas totalement abandonné par l'actualité
et on y croise encore quelques célébrités. Au hasard des photos de l'époque,
on retrouve l'abbé Pierre et Georges Marchais... séparément.
En 1976, Drouant vend et Maurice Casanova prend. C'est à lui qu'on doit la résurrection du mythe.Un cas, cet homme! Pied-noir ayant quitté son "bistrot de 40 guéridons" sur la rue d'Isly, à Alger,
il dit avoir retrouvé la même vie de village à Saint-Germain-des-Prés.
Près du marché Saint-Germain, il crée La Petite Cour, vouée en toute simplicité au caviar,
puis ouvre un cinéma et une brasserie rue Guillaume-Apollinaire.
Et lorsqu'il a fait le tour de sa rive gauche, il se lance - un peu "perdu", dit-il
à l'assaut de la rive droite.
Une tornade s'abat sur "son" Fouquet's, dont il restaure le fameux décor de Jean Royèreet auquel il ajoute deux terrasses couvertes.
Casanova déborde surtout d'idées, et s'appuie sur sa ravissante et efficace fille, Jenny-Paule.
Pour la communication, il fait confiance à Georges Cravenne, pape de l'événementiel dans la capitale.
Le trio remplit la maison comme à ses grands jours.
Célébrités, acteurs, écrivains: tous veulent en être.
Mais il faut battre le fer pour que la fête renaissante continue.
Le Fouquet's ressuscite le pot-au-feu royal de Dodin-Bouffant en trois services et douze plats.
Il accueille surtout la Nuit des césars dès la fin des années 1970, puis la Cérémonie des molières,
deux événements qui persistent et signent aujourd'hui.
C'est à la nouvelle équipe du Fouquet's qu'on doit aussi les Champs-Elysées illuminés à Noël,
le prix littéraire Marco Polo ou le prix Marco Polo de la cuisine étrangère à Paris.
José Artur y plante ses micros du Pop-Club qui vont y faire souche pour des années.
Le prix Louis Delluc s'y installe, le prix Roger Nimier aussi.
Les dîners de premières théâtrales et de cinéma s'enchaînent en rafales.
Tout va pour le mieux jusqu'en 1988.
En fin de bail, le Fouquet's est alors menacé de disparaître pour une galerie marchande.
Seule solution: faire classer l'endroit. Un comité de sauvegarde mené par José Artur,
Roger Hanin et Christine Gouze-Rénal se forme avec Jean-Paul Belmondo, Jacques Chancel,
Robert Hossein, Robert Sabatier, Odette Ventura, Henri Verneuil, Léon Schwartzenberg,
Jean-Michel Folon et moi-même. Nous recueillons 2 000 signatures.
Le 19 octobre 1988, Jack Lang annonce fièrement:
"Je signerai ce soir-même l'arrêté d'inscription du Fouquet's à l'Inventaire des monuments historiques."
Nouvelle ère
Dix ans plus tard, l'établissement change à nouveau de propriétaire.Il est repris par Diane Barrière-Desseigne, la plus belle de ses habituées.
L'héritière du groupe Barrière ouvre le Fouquet's au troisième millénaire en fanfare
avec une déco signée Jacques Garcia qui fait événement.
Elle connaît tout le monde, tout le monde la connaît et la suit.
Sa personnalité, son entregent et son courage, qui auraient pu être brisés par un terrible accident,
relancent une fête qui culmine avec les 100 ans du Fouquet's en 1999.
Deux ans après, Diane Barrière disparaît, mais elle a relancé le navire qui court toujours sur son erre.
L'impressionnant hôtel Fouquet's Barrière qu'elle a inspiré s'inscrit en superbe point d'orgue
de son rêve et parachève la légende d'une institution plus que centenaire.
Jusqu'à ce samedi rouge 18 mars 2019 ou lors d'une manifestation il est incendié...pendant l'acte 18 des Gilets jaune, la brasserie va devoir rester fermée
pour une période estimée à ce stade à plusieurs mois suite aux dégâts considérables
indiqué l'établissement à l'AFP.
L’ auteur compositeur interprète canadien, Daniel Lavoie, nous accompagne avec son titre : Fouquet’s.
En 1990 Jack Lang sauve le Fouquet’s d’un rachat par des financiers,désireux de transformer ce haut lieu parisien en galerie marchande,
en l’inscrivant à l’inventaire des Monuments historiques.
Le Fouquet’s est célèbre pour abriter une fête chaque année avant la cérémonie des Césars.Le déjeuner des nommés, dans cette "brasserie populaire" (dixit un ancien ministre)
sur les Champs-Elysées, est la première marche pour les artistes du cinéma français
en route pour la gloire.
L’Académie des Césars remet un "diplôme" encadré
sans préjuger de l’issue de la compétition.
En quittant le Fouquet’s, chacun repart avec un petit livret Nommé pour un César, mode d’emploi.Les règles d’usage en quelques pages pour se préparer à la cérémonie à venir.
Encore quelques semaines pendant lesquelles tous les espoirsde remporter une fameuse statuette signée César sont encore possibles.
C’est au Fouquet’s que Nicolas Sarkozy fête sa victoire à l’élection présidentielle du 6 mai 2007.Cette réception, symbolise le caractère bling-bling de la première partie du mandat
du nouveau président de la République.
Lina Renault : Le Fouquet’s m’appartient.
Lina Renault, une ancienne maraîchère bourguignonne, revendique (avec ses deux frères)des droits sur le restaurant Le Fouquet’s.
Ses droits dit-elle sont fondés sur un héritage remontant à la comtesse Octavie de Coëtlogon.La dite comtesse, décédée en 1865 sans enfant, avait légué une partie de sa fortune à un cousin germain,
Joseph-Paul Mauprivez. Celui ci, oncle de la grand-mère de Lina Renault, lui avait transmis son héritage.
Depuis le décès de sa mère en 1958, Lina Renault a rassemblé les documentset obtenu du tribunal de grande instance de Créteil en 1978, puis de la cour d’appel de Paris en 1992,
et du premier bureau des hypothèques de Paris en 2006, la reconnaissance du legs.
Toutefois en juin 2008, la justice revenant sur sa décision a donné tort aux trois retraités.
Les Renault disposeraient de « nouveaux documents »attestant qu’ils sont bien propriétaires du bâtiment comptent poursuivre leur action.
Pour les fans d'Elvis comme moi, le Fouquet's revêt un intérêt très particulier
puisqu'Elvis, qui effectuait alors son service militaire en Allemagne
s'y arrêta prendre un pot en terrasse au mois de juin 1959.
Elvis ne tournait qu'aux Etats-Unis et pourtant entre 1959 et 1960 il se rend à Paris trois fois.
Si ses activités dans la capitale consistaient en grande partie à faire la tournée des Grands Ducs,
Elvis va cependant chanter au Casino de Paris pour une poignée de privilégiés.
Line Renaud se produit au Casino de Paris, à la fin du show Elvis qui était présent, rejoint les loges.
Line en parle toujours avec beaucoup d'émotion :
il va improvise un "boeuf" qui durera jusqu'au petit jour armé de la guitare de Loulou Gasté
et accompagné du Golden Gate Quartet. Line Renaud, Loulou Gasté, leur chauffeur, l'habilleuse,
le concierge du Casino et deux autres personnes assistèrent à "ce concert privé".
Fouquet’s par le chanteur D. Lavoie
Je t’ai vue talkin au Fouquet’s,
Ta tasse de thé et tes baskets.
Je t’ai vue talkin ou Fouquet’s.
T’avais si peur d’avoir le hoquet’s
Que tu buvais ton thé à l’assiette
Et tu gênais les plans
Du beau beau mec
Qui te promettait plein….
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Exposition du musée Guimet
SPLENDEURS DES HAN,
essor de l'Empire Céleste
Les Han ont régné du IIIe siècle av J.-C. au IIIe siècle après J.-C., ont fasciné très tôt les archéologues et sinologues français à la fin du 19e siècle.
Des sculptures monumentales en pierre, mais également des objets délicats, finement ciselés en or,
boucle de ceinture en or découverte en 1995 dans une tombe princière. (motif en léger relief figurant deux bêtes sauvages mordant l'encolure d'un cheval.
céramique ou bois laqué, témoignent de toute la richesse artistique et spirituelle sous le règne des Han.
"Il y a un brûle-parfum en bronze incrusté de métaux précieux : une représentation d’un paradis taoïste. La coupe sillonnée de vagues, surmontée d’une montagne dentelée à l’intérieur duquel des animaux et des hommes sont représentés avec une espèce de chasse mythique. Alors, il faut imaginer donc autour de ces montagnes des volutes de fumée."
Le grand linceul du Prince de Chu
Une partie des pièces exposées provient de la seule tombe impériale des Han jamais fouillée par des archéologues. En tout, plus de 4 000 objets ont été découverts à la fin du 20e siècle lors d'une construction d'autoroute. Des objets funéraires donc, comme cette somptueuse cuirasse composée de milliers de plaques en jade blanc avec des fils d'or.
"C’est le grand linceul du Prince de Chu, l’une des pièces phares de cette exposition, une œuvre visible pour la première fois en France et qui conclut cette première partie sur l’empereur, l’art de la cour."
"La soie chinoise va faire l’objet d’un grand commerce à travers tout le continent asiatique et sur le bassin méditerranéen ; elle est même portée à Rome."
la vie quotidienne de la dynastie - avec ses banquets, ses jeux, ses danses et musiques -
joueurs de Liubo en bois
illustrée par des figurines touchantes en terre cuite, des acrobates en équilibre, des danseuses élégantes aux manches longues.
Tigre en argent
Un monde lointain et proche en même temps, car il ne faut pas oublier que le papier est une invention majeure des Han.
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Après une nuit dans le train, la journée avec les fans, le concert Elvis expérience
et ce dimanche les vitrines des grands magasins
je commence a être épuisée et mes handicaps se font lourdement sentir.
Je suis trop rarement dans mon cher Paris pour renoncer, direction les quartiers de luxe.
La carte bancaire ne craint rien tout est fermé...
Chez Fauchon : Noël Eclat 2015
Le sapin de la place Vendôme
La colonne Vendôme est en réfection
Je m'engage dans les rues chics, St Honoré, Cambon...
"ou tout est luxe et volupté"
Dans la célèbre rue Cambon de mademoiselle Coco Chanel je prends ces fleurs en photo,
à mon retour....poubelles et oui cet hôtel de luxe doit toujours avoir des bouquets impeccable
et bien moi j'en aurai bien fait mon "ordinaire".
Opéra, par hasard, je m'y trouve à 17 heures,
chaque dimanche y a lieu le départ de la traversée de Paris en rollers.
Rue la Paix au n° 13
Le Westminster
Hôtel ****
Le jour baisse et j'ai beaucoup de mal a marcher ce sacré sacro iliaque !!!!
difficilement j'arrive Place de la Concorde
La grande roue
Elle est devenue un incontournable des fêtes de fin d'année
offrant une vue unique sur Paris et ses lumières, sans moi, j'ai le vertige,
"Admirer la capitale depuis la Grande Roue de la Concorde est un événement
que certains ne manqueraient pour rien au monde !
Pourquoi ? Eh bien simplement parce que, pendant les fêtes,la ville lumière mérite encore mieux son nom.
Perché à plus de 65 mètres de haut cette Grande Roue,
vous offrira un panorama unique sur les Champs Elysées et les Tuileries jusqu'au Louvre !
Et avec les illuminations de Noël, le spectacle en vaut la chandelle."
Pour la suite je vous attends sur les Champs
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Après avoir traversé et retraversé la place de la Concorde, je compte remonter les Champs Elysées,
ce qui ne sera pas possible mes jambes me lâchant...
J'ai faim, arrêt à la première baraque du marché de Noël pour une crêpe au chocolat
que je déguste debout, accoudée à un genre de table en bois, rien pour s'asseoir.
Quelle vie, que d'animations, depuis cinq ans que je me suis expatriée à Muret je n'ai plus jamais connu cela.
En face j'aperçois la tour Eiffel illuminée, comme je l'aime, sinon je n'apprécie pas du tout cette dame en fer.
Ce n'est pas l'envie qui me manque d'aller y prendre quelques photos, même pas en rêve,
parfois je me demande si je ne vais pas tomber dans les pommes tellement j'ai mal...
Comme ce fut le cas et le sera au retour dans le métro, dans cette allée je n'entends pas un mot de français,
à croire que les italiens, russes, japonais sont tous sur cette avenue connue du monde entier.
La nuit est tombée, je dois encore prendre le métro pour retourner à mon hotel
afin de récupérer ma valise et me rendre à la gare.
Ce n'est pas le temps qui me manque mais je dois faire une dernière photo,
le physique me lâche.. A un moment je songe à prendre un taxi,
mais impossible cela me couterait une petite fortune.
Avec d'énormes difficultés j'ai pu rejoindre mon hôtel
et après avec la valise le métro ou la montée de chaque marche fut douleur.
J'étais à la gare à 7 heures pour un départ vers 23 heures,
la salle chauffée était bondée et comme j'avais oublié ma carte de priorité j'ai attendu dans les courants d'air.
Le lendemain matin à Toulouse ma correspondance pour Muret avait 1/2 de retard,
arrivée chez moi vers 9 heures je me suis écroulée de fatigue et avec mal à la gorge.
Le lendemain, mardi je toussais, comme j'ai déjà fait trois pneumopathie j'ai téléphoné à mon médecin.
Certains médecins étaient en grève et de plus j'ai appris que le mien avait cessé son activité
et que sa remplacante ne souhaitait pas se déplacer..
J'ai appelé un autre toubib qui m'a dit ne pas pouvoir venir avant le mercredi midi, et tout a flambé,
une toux a m'arracher les poumons etc..
Cortisone et autres, j'en suis à ma troisième bouteille de sirop et je ne suis pas encore en forme.
Un drame s'est produit en France le vendredi au siège de Charlie Hebdo
puis une semaine de prise d'otages, de traques, d'hommages, d'enterrements.
Toute la France et le monde sous le choc,
lorsque cela se sera un peu apaisé pour le devoir de mémoire je ferais un billet,
mais pour le moment tout est encore trop "frais".
Le début d'année 2015 fort agréable ne dura pas longtemps..
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PARIS FEERIE
(à pieds et en métro, boulevard Haussmann)
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Nous étions dimanche matin, hier j’avais été à la boutique EMH, rencontré des fans d’Elvis
et assister au spectacle de Martin Fontaine :
ELVIS EXPERIENCE.
Un dernier rendez vous avec un fan,
Jocelyn et ce serait les grandes retrouvailles avec certains quartiers de Paris.
Ne pouvant effectuer mes pélerinages habituels pas manque de temps
et puisque nous étions en période de fêtes
j’avais prévu les belles boutiques et si possible un peu de Paris by night
avant de reprendre mon train de nuit.
Petit déjeuner (le deuxième pour moi) avec Jocelyn,
nous avions déjà beaucoup échangé sur F.B sans jamais nous rencontrer,
alors beaucoup de papotages avec un vrai plaisir et encore des cadeaux.
Mais il n’est de si bonne compagnie qui ne se quitte
et comme il me faudra déjà perdre deux heures dans les métros entre les A.R
nous nous quittons, pour moi :
direction les grands magasins et leurs vitrines.
Je commence par celles du Printemps alors que j’ai toujours préféré les Galeries Lafayette,
le métro en a décidé ainsi.
Burberry y est roi, il a sponsorisé la décoration des vitrines.
"Noël, Voyage Magique par Burberry"raconte l’incroyable voyage d’un petit garçon depuis Londres, sa ville natale,à Paris, la ville lumière.Il survole Big Ben
traverse le tunnel
et arrive à Paris, la capitale du luxe.
En poursuivant mon chemin j’ai rencontré un limonaire,
la rue embaumait les marrons chauds.
Un peu flou ma statue humaine dorée !!
Je me dirige maintenant vers mon grand magasin préféré : les Galeries Lafayette
Au fil du boulevard Haussmann,
les vitrines deviennent le terrain de jeu du monstre Gustave et de ses drôles de copains.
Derrière un lourd rideau, de grosses pattes velues et manucurées se faufilent, chahutent le décor,
deux gros yeux ronds scrutent les spectateurs sur le trottoir,
une première main écarte un rideau, puis la deuxième
… Une drôle de créature s’apprête timidement à monter sur scène.
Le spectacle est lancé, les vitrines deviennent scénettes avec Norma l’équilibriste
et son acolyte Norbert le ver de terre, Zoé la magicienne en herbe,
une armée de lapins farfelus, une bataille de popcorn dans la salle de spectacles,
ou encore Gustave le monstre en chef qui se retrouve « enguirlandé ».
En vitrines, les monstres s’amusent et chahutent, tout est permis.
Monster Show, le monstrueux spectacle qui ne m’a pas du tout fait rêver
Cinq compères sont au rendez-vous :
Gustave, la star très poilue du Noël Monstre, attachant et maladroit,
tellement doux qu’on rêve d’être pris dans ses bras.
Papili Gaga l’accompagne, monstre féminin fashion de la bande :
yeux aux cils maquillés gants blancs et manucure parfaite, c’est une vraie lady.
Bubble est aussi spectaculaire, petite tête et multi-bras, il est adouci par ses couleurs rassurantes.
Enfin, Fronzi et Vroumi sont deux hybrides colorés et agiles, jamais là où on les attend.
Une petite faim me tenaille et...........je n'ai plus de cigarettes, direction gare St Lazare,
seul endroit ou je puisse en trouver un dimanche.
Il y a beaucoup de surveillance policière et militaire, mitraillette en bandoulière.
Un peu trop à mon avis, ce n'est qu'après l'attentat de Charlie Hebdo
que je me dirais y avait il déjà une menace ??
Suite au prochain numéro car je ne peux plus charger de photos.
Donnons nous rendez vous place Vendôme.
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